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Saturday, February 24, 2007

Internet, miroir de la société selon Vinton Cerf

Si le Web regorge de côtés sombres - spams, escroqueries... - c'est, selon Vinton Cerf, simplement le reflet de l'état de la société. Le père fondateur d'Internet estime par ailleurs que les appareils mobiles seront le levier de la future croissance du Web.

Internet n'est qu'un reflet de la population qui l'utilise, selon Vinton Cerf, considéré comme l'un des fondateurs du Web et, depuis 1996, chef évangéliste chez Google. Le créateur du protocole TCP/IP estime ainsi que les maux dont souffre Internet - vol d'identité, escroquerie, épidémies virales, etc. - sont simplement liés à la nature de la société, et ne dépendent pas de la technologie sur laquelle ils reposent. « Si vous vous placez en face d'un miroir et que vous n'aimez pas ce que vous y voyez, ça ne vous aidera pas à corriger le miroir », a-t-il expliqué lors d'une conférence tenue à Bangalore.

Selon Vinton Cerf, les entreprises oeuvrant sur Internet déploient maints efforts pour prévenir les dérives du Web, mais ces problèmes relèvent davantage des sphères sociales et économiques que de la seule technologie. Et de citer l'exemple d'Orkut, le site de réseau social de Google, mis en cause en Inde après que des utilisateurs eurent critiqué le sous-continent et des personnages historiques vénérés. De même, le système des castes se retrouverait sur ce même Orkut. Autant de phénomènes illustrant la reproduction sur le Web des faits sociaux.

Le spam est un autre exemple, explique Vinton Cerf. Il n'est qu'un effet de la gratuité prégnante, en l'occurrence celle des services d'emails.

Par ailleurs, le concepteur du TCP/IP, également président du directoire de l'Icann, estime que la prochaine vague de croissance du nombre d'internautes sera issue des applications mobiles. Les téléphones portables, explique-t-il, constituent un vecteur important de la révolution Internet. Aujourd'hui, 2,5 milliards de personnes utilisent un mobile, un chiffre en augmentation permanente en grande partie en raison de la croissance rapide observable dans les pays émergents comme l'Inde et la Chine. Pour le seul sous-continent, ce sont sept millions d'utilisateurs supplémentaires qu'il faut compter chaque mois.

Mobile : l'Inde, un marché en devenir

Avec 150 millions d'abonnés au téléphone mobile, l'Inde ne pointe qu'à la quatrième place du classement des pays comptant le plus d'abonnés derrière la Chine, les Etats-Unis et la Russie. Mais de ces quatre pays, l'Inde est celui dont la croissance est la plus dynamique. Au rythme actuel, l'Inde pourrait compter 500 millions d'abonnés en 2010. Autant de raisons données par Sanjiv Ahuja, directeur général d'Orange, à Reuters pour évoquer la possibilité pour l'opérateur français de suivre les pas de Vodafone et de s'implanter dans ce nouveaux far west du mobile

source : jdn

Monday, February 19, 2007

Alcatel-Lucent déploie un réseau mobile haut débit EV-DO pour China Unicom à Macao

Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU) annonce avoir signé un contrat avec China Unicom, un important fournisseur de services de télécommunications chinois, pour le déploiement d’un réseau radio haut débit CDMA2000 1xEV-DO Révision A (Rev. A) sur l’île de Macao. Selon les termes du contrat, Alcatel-Lucent fournira à l’opérateur des mises à jour matérielles et logicielles pour les stations de base CDMA2000 déjà en place et qui avaient été fournies par Lucent Technologies. Une fois ces mises à jour effectuées, China Unicom sera en mesure de proposer à ses abonnés de Macao des services de transmission de données mobiles haut débit tels que la télévision broadcast et la visiophonie.
Alcatel-Lucent a déployé 10 réseaux CDMA2000 à travers la Chine pour le compte de China Unicom. Le réseau EV-DO Rev. A installé à Macao lui servira de vitrine montrant à quel point il est facile de mettre à niveau les réseaux CDMA2000 1X existants et de permettre aux opérateurs et à leurs clients de profiter des avantages d’un réseau radio haut débit. « Ce contrat avec China Unicom à Macao est primordial car il montre qu’Alcatel-Lucent tient déjà les promesses faites lors de la fusion », déclare Frédéric Rose, Président des activités d’Alcatel-Lucent en Asie-Pacifique. « L’entreprise occupe désormais une place prépondérante sur le marché radio, grâce à la réunion des actifs d’Alcatel et de Lucent, ainsi que l’acquisition des composants d’accès UMTS de Nortel. »
Alcatel-Lucent fournit des solutions pour les trois standards 3G (W-CDMA, CDMA2000 et TD-SCDMA) et est bien positionné pour répondre aux demandes de tous les clients de Chine et de la région Asie-Pacifique. Ce contrat fait suite à un autre contrat EV-DO Rev. A remporté par Alcatel-Lucent en Nouvelle-Zélande et il témoigne de la présence croissante de la société sur le marché 3G dans cette région. La norme EV-DO Rev. A est une version améliorée du CDMA2000 1xEV-DO qui renforce l’efficacité, la vitesse de transmission des données et la capacité des réseaux CDMA2000 1X et 1xEV-DO existants. L’EV-DO Rev. A permet aux utilisateurs de recevoir des données (Forward link, liaison de la station de base vers le terminal) à des vitesses allant jusqu’à 3,1 Mbps et d’envoyer des données (Reverse link, liaison du terminal vers la station de base) à des vitesses allant jusqu’à 1,8 Mbps. Cette accélération de la transmission des données dans les deux sens réduit la latence et permettra aux opérateurs de distribuer la Voix sur IP (VoIP) et d’autres services multimédias.

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Sunday, February 18, 2007

En matière de télécoms, l'Inde à la fête, la Chine au piquet

BARCELONE (Reuters) - Le secteur mondial des télécoms a fêté l'Inde à l'occasion du salon professionnel 3GSM de Barcelone de 2007, ce après plusieurs années passées à vanter les potentialités de la Chine pour le développement de la téléphonie dite de "troisième génération."L'acquisition, annoncée dimanche dernier, par le britannique Vodafone d'une participation de contrôle dans le capital de l'indien Hutchison Essar pour 11 milliards de dollars est venue réveiller les acteurs encore inconscients de l'émergence du sous-continent.


Avec quelque 150 millions d'utilisateurs de téléphones portables, l'Inde est déjà le quatrième marché mondial de la téléphonie mobile derrière la Chine, les Etats-Unis et la Russie.


La population indienne étant toutefois de plus d'un milliard d'habitants, le taux de pénétration atteint à peine 15% et le pays représente, au sein des grandes nations, le marché à la croissance la plus rapide. Il devrait même dépasser la Russie cette année.


Si la croissance actuelle du marché indien se maintient, le nombre d'utilisateurs grimpera à un demi-million d'ici à 2010.


Les manoeuvres de Vodafone ont suscité quelque envie chez Orange, la filiale mobile de France Télécom. Son directeur général, Sanjiv Ahuja - de nationalité indienne -, a déclaré pendant le salon qu'Orange pourrait suivre les pas de Vodafone.


"L'Inde est un marché qui croît vite. Si la bonne opportunité se présente au bon prix, nous examinerons le dossier", a-t-il ajouté au cours d'une interview accordée à Reuters.


Bien que le montant déboursé par Vodafone pour s'offrir Hutchison Essar semble élevé pour plusieurs analystes, la plupart convient que l'opération ne souffrait pas l'ambiguïté.


Du côté des opérateurs indiens, l'heure semble également à l'expansion internationale. Le numéro un du mobile dans le pays, Bharti Airtel, s'est en tous cas déclaré prêt.


Sunil Bharti Mittal, son président, a confié que le groupe était "activement" à la recherche d'acquisitions à l'étranger.


SILENCE SUR LA CHINE


Autrefois considéré comme le lièvre face à la tortue indienne, la Chine a fait peu parler d'elle au cours de la manifestation.


Les leaders du marché télécoms de l'empire du milieu, China Telecom et China Unicom, n'ont été aperçus nulle part.


Quant aux équipementiers occidentaux naguère enthousiasmés à l'idée de se positionner pour l'attribution de licences de téléphonie mobile 3G, ils ont semblé lassés du sujet.


"J'ai cessé d'essayer de prédire l'attribution des licences. On constate une ébullition et puis ça se calme", déplore Paul Jacobs, directeur général du groupe américain Qualcomm.


Plusieurs milliers d'abonnés chinois à la norme nationale TD-SCDMA se sont tournés vers la justice, mécontents du fonctionnement de cette technologie présentée comme 3G en 2000.


Depuis cette date, le secteur attend que Pékin attribue de nouvelles licences pour présenter des projets d'infrastructures. Annoncée sept années durant comme imminente, la décision gouvernementale se fait toujours attendre.


Les espoirs se portent désormais sur les Jeux olympiques de 2008 à Pékin. En novembre 2006, Tang Ru'an, vice-président de Datang Group, leader chinois des technologies pour les normes de téléphonie mobile, a fait savoir que quelque chose pourrait se décider au cours de ce mois de février.


Le salon 3GSM aurait pu constituer l'occasion idéale mais le pavillon chinois ne s'est contenté que d'héberger des entreprises mineures.


"Je pense que le gouvernement veut s'assurer d'avoir fait le bon choix. La 3G continue d'évoluer", estime Lin Cheng, président pour l'Europe de l'équipementier chinois ZTE.


Selon lui, le déploiement du nouveau réseau prendra au moins cinq à dix ans.par Georgina Prodhan et Santosh Menon

Georgina Prodhan et Santosh Menon - euroinvestor.fr

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Wednesday, February 14, 2007

Un milliard de clients pauvres à conquérir

Le Salon mondial du mobile (3GSM) s'ouvre ce lundi à Barcelone sur un chiffre record : 2,6 milliards d'habitants de la planète sont équipés d'un mobile. Rapporté aux 6,6 milliards d'humains, le taux de possession frôle 40 %. Pour 2006, on a dénombré 600 000 nouveaux pratiquants. Un chiffre à combler d'aise n'importe quelle industrie. Pourtant, l'humeur dans la capitale catalane, où l'on attend 60 000 professionnels, ne sera pas aux congratulations. Le prochain milliard d'abonnés sera bien plus difficile à gagner, prédisent tous les acteurs, car la compétition s'annonce plus féroce. «Ce qui tire la croissance aujourd'hui, c'est la Chine, l'Inde ou encore le Brésil», pays où les revenus sont loin des standards européens, rappelle-t-on chez Nokia comme chez Lucent-Alcatel. Il va falloir que tout le monde s'ajuste. Ceux qui fabriquent les réseaux, ceux qui fournissent les mobiles et les opérateurs.
«Coups de tonnerre». Le défi pour les industriels est de fabriquer moins cher. A Barcelone, confie un analyste du secteur, «je vais aller regarder les chinois et autres asiatiques». Les Pantech, BenQ ou HTC. «Ils commencent à développer les mêmes discours sur les services, les fonctionnalités» que les équipementiers de premier rang, «mais pour beaucoup moins cher». Curiosité aussi pour Huawei, l'équipementier de Shenzhen : «Ils apprennent vite comment pénétrer les marchés européens.» Huawei a créé la surprise en arrachant sa place dans la liste des fournisseurs de France Télécom pour ses réseaux mobiles UMTS (3G). Jusqu'ici, Huawei n'était entré en France que chez les opérateurs alternatifs. Certes, les marchés gagnés sont modestes (Belgique et Roumanie). Mais le chinois serait, dit-on, deux fois moins cher.
Le vrai challenge, c'est la baisse des coûts. Dans les pays à fort revenu, la focalisation sur les prix est une question de survie. Longtemps, les opérateurs se sont reposés sur l'Arpu (revenu moyen par abonné) pour assurer leur croissance. Mais l'Arpu marque le pas, quand il ne recule pas. La baisse substantielle du chiffre d'affaires de l'activité mobile de Deutsche Telekom en Allemagne ­ 8,1 % au quatrième trimestre ­ suivie d'une même annonce chez Vodafone sur quelques-uns de ses marchés ont fait «l'effet de coups de tonnerre», assure Julien Salenave, de l'Idate (Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe).
La 3G, et ses services multimédias, censée tirer la recette moyenne par abonné vers le haut, fait un bide. «La 3G n'a pas fait valoir vraiment sa différence», reconnaît un opérateur. En France, SFR a beau avoir gagné 685 000 nouveaux clients en 2006 et réussi à tripler le nombre de ses abonnés 3G, le revenu par client a fondu (- 6,2 %) et le chiffre d'affaires global a stagné (à - 0,1 %). Tandis qu'Orange, en France, ne progressait que de 1 %. Est-ce la faute aux nouveaux services (téléchargement de musique, de vidéo, chat...) qui déçoivent ? Ou faut-il y voir un effet revenu ? La facture du mobile n'étant pas extensible pour des ménages dont les revenus font du surplace. «Peu importe le motif», explique un observateur ; la question du jour pour les opérateurs à Barcelone est celle-ci : «Comment gérer une activité qui stagne et retrouver de la rentabilité ? Réponse : en diminuant les coûts !»
«Il faudra regarder de près le Wimax», poursuit un spécialiste chez Ovum. Cette technologie de haut débit sans fil, en plein essor, devrait se tailler un beau succès de curiosité au 3GSM. Pour cette raison basique qu'un réseau Wimax peut délivrer le même service que la 3G, tout en coûtant beaucoup moins cher.
Futures alliances. GFK, le leader mondial de l'étude de marché, va dépêcher au salon dix-sept professionnels pour analyser les tendances et traquer l'innovation. Mais, d'ores et déjà, deux sujets le titillent : le très haut débit sur mobile, l'après-3G et aussi la télévision, promise sur le petit écran du portable pour très bientôt. «Peut-être que la télévision va enfin faire décoller les usages», s'interroge l'expert.
C'est quoi, un salon ? s'interroge un participant : «deux-trois annonces très fortes pour la partie visible, beaucoup de prouesses, parfois du bidonnage techno». Mais surtout, l'endroit où se nouent les futures alliances. L'enjeu du prochain milliard...

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Tuesday, February 13, 2007

Vodafone emporte la mise en Inde, hausse du titre

HONG KONG/BARCELONE (Reuters) - Le géant de la téléphonie mobile Vodafone a progressé lundi à la Bourse de Londres au lendemain de l'annonce de l'acquisition d'une part majoritaire dans l'opérateur indien Hutchison Essar pour 11 milliards de dollars (8,4 milliards d'euros).


Avec cette transaction, le premier opérateur mobile mondial par le nombre d'abonnés hors de Chine s'impose désormais comme un acteur central du marché de la téléphonie portable dans les pays à forte croissance.

Vodafone, qui a déjà réalisé en 2000 la plus grosse acquisition de l'histoire avec le rachat de Mannesmann, a confirmé dimanche dans la soirée l'achat de 67% du quatrième opérateur mobile indien, valorisant ce dernier à environ 19 milliards de dollars, dettes comprises.

Essar Group, qui détient 33% d'Hutchison Essar, Hinduja Group et India's Reliance Communications étaient les trois autres candidats à la reprise.

Vodafone a fini en hausse de 1,34% à la Bourse de Londres, à 151-1/2 pence, après une poussée à 153-1/2, soit la deuxième performance du FTSE-100 qui a cédé 0,46%.

"Cela commence à répondre à une question capitale concernant Vofadone, le manque d'exposition aux marchés émergents", commentent les analystes d'Investec Securities dans une note.

Le groupe a déclaré que l'opération lui permettrait de porter à un tiers d'ici 2012 la contribution des marchés émergents à ses bénéfices, contre 20% actuellement.

"Cette acquisition se réalise sur le plus grand marché à forte croissance du monde", a déclaré le directeur général de Vodafone Arun Sarin lors d'une téléconférence. Il a ajouté que seulement 13% de la population indienne, qui s'élève à 1,1 milliard d'habitants, possédaient un téléphone mobile, contre environ 40% en Chine et des taux de pénétration de 100% dans certaines régions d'Europe.

JACKPOT

Après avoir grimpé de 28% depuis novembre sur des spéculations de vente, le cours de Hutchison Telecommunications International, propriété du milliardaire hongkongais Li Ka-shing, était suspendu lundi.

L'acquisition, la troisième plus importante jamais réalisée par Vodafone, constitue une nouvelle opération hautement lucrative pour Li, 78 ans.

Hutch Tel a précisé que l'opération lui rapporterait un produit avant impôt de 9,6 milliards de dollars, qui sera affecté pour partie à la réduction de la dette et au versement d'un dividende spécial.

"Ils ont encore touché le jackpot", commente Francis Lun, à Fulbright Securities, à Hong Kong. "Ils n'ont investi que 20 milliards de dollars de Hong Kong (2,6 milliards de dollars US) en Inde, c'est donc une bonne opération pour eux."

Selon les données de Dealogic, il s'agit de la quatrième plus grosse opération de fusion-acquisition jamais réalisée impliquant un groupe asiatique qui ne soit pas japonais.

Vodafone est en quête de relais de croissance sur les marchés émergents, tandis que les marchés européens apparaissent relativement saturés.

Le nombre d'utilisateurs de portables en Inde devrait passer de 150 millions aujourd'hui à 500 millions en 2010, soit cinq à six millions de nouveaux abonnés par mois. Hutchison Essar compte plus de 24 millions de clients, soit une part de marché de 16% dans le pays.

PAS DE BATAILLE D'OFFRES

Vodafone, accusé par le passé de surpayer ses acquisitions, a déclaré que l'accord devrait satisfaire ses investisseurs car il répond aux critères d'acquisition fixés par le groupe.

Il s'agit du plus gros accord signé par Vodafone depuis l'achat record de l'allemand Mannesmann en 2000 pour 180 milliards d'euros.

"L'acquisition s'est faite à un prix très raisonnable et nous en sommes ravis (...) Nous abordons avec confiance le dialogue avec les actionnaires et sommes optimistes quant aux retours que nous leur apporterons", a déclaré Arun Sarin, un citoyen américain né en Inde.

"Le fait que Vodafone ait acquis Hutch Essar sans avoir déclenché une longue bataille d'offres, et à un prix inférieur au plafond annoncé de 20 milliards de dollars, est une bonne chose", estime Robert Grindle, analyste à la Dresdner Bank.

D'autres sont plus sceptiques, observant que la transaction valorise Hutchison Essar à un multiple de valeur d'entreprise/Ebitda de 16,4, contre 13,6 pour Bharti et 11,7 pour Reliance.

Vodafone affirme que l'accord sera neutre pour ses bénéfices dès la première année, hors coûts d'amortissement. Si l'on prend en compte ces coûts, le bénéfice de Vodafone devrait être réduit de six à 7% sur le premier exercice, avant de croître à partir de la cinquième année.

Le géant britannique a par ailleurs annoncé qu'il vendrait une participation de 5,6% dans le premier opérateur de téléphonie portable indien, Bharti Airtel, pour 1,6 milliard de dollars. Vodafone avait acheté 10% dans Bharti en 2005 pour 1,5 milliard de dollars.

La loi indienne interdit à Vodafone de posséder plus de 74% d'un opérateur télécoms indien.

Yahoo! étend sa position dominante en matière de publicité mobile avec le lancement de placards publicitaires dans 19 pays

D'importantes marques telles que Nissan, Pepsi et Intel signent un contrat publicitaire à l'occasion du lancement

Yahoo! Inc. (NASDAQ: YHOO) lance aujourd'hui sa plate-forme de régie publicitaire mobile sur le service Internet mobile Yahoo! de la société (m.yahoo.com) dans 19 pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique, permettant ainsi aux annonceurs de toucher instantanément des consommateurs du monde entier par le biais de leurs téléphones portables. Ce lancement mondial témoigne de la volonté constante de Yahoo! d'étendre sa position dominante dans le domaine de la régie publicitaire et de son objectif de devenir numéro un en matière de monétisation mobile.

D'importants annonceurs du monde entier, tels que Les Suites Ambassadeur du groupe Hilton, Infiniti, Intel, Nissan, Pepsi, Procter & Gamble Asie Pacifique et Singapore Airlines vont lancer des campagnes d'inauguration de la publicité mobile sur cette nouvelle plate-forme à partir d'aujourd'hui. Les publicités apparaîtront près de la partie supérieure de la page d'accueil Internet mobile de Yahoo!. Les consommateurs pourront cliquer sur ces publicités interactives pour appeler directement l'annonceur ou pour obtenir plus d'informations sur l'offre de l'annonceur.

<< En raison de l'évidente position dominante de Yahoo! dans le domaine de la régie publicitaire sur Internet, de sa couverture mondiale et de la popularité de nos services mobiles, les principaux annonceurs viennent naturellement chez nous pour passer au mobile >>, déclare Geraldine Wilson, directrice générale et vice-présidente de Connected Life, Europe, pour Yahoo!. << Seul Yahoo! peut offrir aux plus importants annonceurs du monde la possibilité de travailler avec un partenaire de confiance afin d'atteindre un public ciblé de consommateurs engagés à la fois sur leur PC et sur leur téléphone portable. >>

En tant que chef de file du secteur de la régie publicitaire, Yahoo! offre aux annonceurs la possibilité d'exécuter des campagnes au niveau mondial touchant des millions de consommateurs sur leur PC et téléphone portable. Yahoo! fournit des solutions complètes en matière de placards et de recherche publicitaires, notamment la recherche personnalisée et des fonctions incomparables de ciblage et de mesure. Yahoo! travaille avec une grande majorité des 100 premiers annonceurs AdAge, et le lancement d'aujourd'hui constitue une nouvelle initiative décisive dans le développement de la position dominante de Yahoo! dans le segment des placards.

<< Nissan recherche constamment de nouvelles manières d'interagir avec les consommateurs à l'aide de nouveaux moyens de communication >>, indique Steve Kerho, directeur du marketing interactif et multimédia chez Nissan. << Le nouveau service Internet mobile de Yahoo! constitue le support parfait pour impliquer directement les consommateurs du monde entier et leur présenter les projets fascinants sur lesquels nous travaillons, tels que Nissan Live Sets, une série de concerts privés diffusés sur Yahoo! Music et qui propose des artistes tels que Christina Aguilera, Tony Bennett et John Legend. >>

<< Nous avons enregistré des résultats exceptionnels auprès de nos consommateurs par le biais de Yahoo! >>, affirme John Vail, directeur du marketing interactif chez Pepsi-Cola Amérique du Nord. << Désormais, nous pouvons atteindre les consommateurs lorsqu'ils sont en déplacement et communiquer avec eux comme jamais auparavant. >>

<< En tant qu'entreprise internationale, Intel continue de rechercher de nouveaux moyens innovants d'atteindre les consommateurs du monde entier afin de les informer des dernières offres de produits d'Intel >>, déclare CJ Bruno, directeur du marketing pour l'Amérique chez Intel. << La nouvelle plate-forme publicitaire mobile de Yahoo! nous permet d'atteindre efficacement des consommateurs sur des marchés clés du monde entier par le biais des combinés, l'un des marchés de la consommation grand public dont la croissance est la plus rapide. >>

En novembre 2006, Vodafone a signé un contrat d'exclusivité en matière de placards publicitaires avec Yahoo! au Royaume-Uni. Les sociétés ont formé cette alliance stratégique afin de créer une activité publicitaire mobile innovante qui améliorera l'expérience du client sur les téléphones portables tout en fournissant aux deux entreprises une nouvelle source de revenus. En outre, en novembre 2006, Yahoo! a lancé pour la première fois des publicités sur le service Internet mobile de la société aux États-Unis. En octobre 2006, la société a également lancé des recherches publicitaires en version bêta aux États-Unis et au Royaume-Uni

France Telecom : cèderait ses activités mobiles aux Pays-bas

Après Hutchison Essar, Iliade, c’est au tour de France Telecom de mener une nouvelle danse dans le secteur en ébullition des télécoms. Selon le Wall Street Journal et le journal néerlandais Het Financieele Dagblad, l'opérateur français envisagerait de céder ses activités de téléphonie mobile aux Pays-Bas sous la marque Orange.


Outre ces journaux, l’agence AFX confirme l’opération en cours, rapportant par ailleurs que le groupe français aurait fait appel à la banque d'affaires Lazard. Cette dernière serait en charge du dossier afin d'évaluer cet actif et de rechercher des candidats éventuels.

Les analystes estiment que la valorisation d'Orange aux Pays-Bas, qui est le plus petit opérateur du pays avec une part de marché de 8% derrière KPN, Vodafone et l’allemand T-Mobile, pourrait atteindre entre 800 millions et 1,5 milliard d'euros.

Selon eux, KPN ne pourrait être en lice, en raison du principe de concurrence, de même que Vodafone qui poursuit sa stratégie d’abandon des petites opérations. Seul T-Mobile serait le mieux placé pour le rachat.

source : easybourse.com

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Tuesday, February 06, 2007

tendance 2007 de le pub sur mobile

2007 sera t'elle l'année de la publicité sur les téléphones mobiles ? Quelques semaines après les annonces de partenariat entre Yahoo et Vodafone d'une part ou Microsoft et Bouygues Telecom d'autre part, c'est au tour de PhoneValley, un spécialiste français du marketing mobile, d'annoncer la création de sa propre régie : Ad Valley.

« A l'instar de la chaîne de valeur actuellement en place sur le web, distinguant une régie, d'un prestataire technique ou d'un éditeur, le secteur de la mobilité nous permet d'être transversal, nous assurant ainsi une forte légitimité sur cette offre régie mobile » précise Alexandre Mars, PDG de Phonevalley, dont la société commercialisait déjà des campagnes en SMS, MMS, vidéo ou wap pour des annonceurs comme la Société Générale, Sony Ericsson ou Universal…

En juillet 2006, une étude partielle de l'institut TNS Media et de la Mobile Market Association estimait que la publicité sur téléphones mobiles français n'atteignait que quelques millions d'euros, une goutte comparée aux presque deux milliards d'euros investis par les annonceurs sur internet.

Mais ce petit écran semble avoir un gros potentiel. «Dans l'Hexagone, le téléphone mobile est devenu le premier media devant la télévision en terme d'audience potentielle. Et cela s'explique car le mobile est à la fois un des objets les plus importants de la vie quotidienne ainsi qu'un média de masse pour 50 millions de personnes en France, qui le conservent à portée de main en moyenne 16 heures par jour.» ajoute Alexandre Mars.

Alors 2007 sera t'elle l'année de la publicité sur les mobiles ? Même si Jérôme de LABRIFFE, Président de l'IAB, estime que le marché ne décollera pas encore cette année, un grand nombre de sociétés commencent à se positionner. Outre des spécialistes comme PhoneValley, CellaCast, Jet Multimedia ou Screentonic, ce marché intéresse tout particulièrement les grands opérateurs comme Orange, SFR ou Bouygues Telecom sans oublier les rois du lien sponsorisé : Google, Yahoo et Microsoft.

source : neteco.com

De la pub dans les temps d'attente téléphoniques

Apptera a lancé fin janvier MobileAd Technology, présentée comme une "place de marché" fonctionnant selon un système d'enchères. Les publicités seront insérées pendant les temps d'attente lors d'appels téléphoniques à des services clients. Déjà que le Boléro de Ravel était particulièrement hérissant au bout de 5 minutes...

Apptera, a five-year-old startup, is out to prove the “voice is a commodity” crowd wrong.



The San Bruno, California-based company on Wednesday introduced MobileAd Technology, an advertising marketplace that inserts ads in phone calls through a Google-style bid system.



The company plans to fill those long and short pauses in commercial phone calls, as the caller is shuttled between departments, with targeted ads.



So as a caller waits for the manager of the men’s apparel department of the local store to pick up, he could be treated to an ad for a sale on overcoats, instead of music from the local Lite FM station.



Or a caller using free directory assistance to find John’s hardware store could be treated to an ad for Bill’s hardware store which is close by and happens to be running a sale on power tools.



SPIT Risk

The risk for Apptera is that while consumers will tolerate unsolicited ads on TV or the Internet, phone calls, because they are considered highly personal and even intimate, are considered off limits.



Unsolicited ads on a phone call could be considered far more intrusive and irksome than spam. In fact the telecommunications industry has come up with a pretty graphic acronym for the VoIP version of spam: SPIT (Spam over Internet Telephony).



So in most cases Apptera’s ad insertion technology seeks an “opt-in” or pre-approval of the caller before the ad is played.



The company makes exceptions in cases where the caller is being treated to a free service that normally has a price, like free directory assistance.



So inherent in that quid pro quo is the caller’s tacit approval.



Apptera is initially targeting directory assistance service providers, phone companies, portals, advertisers, marketers, and businesses in general. The company has already acquired a significant customer, AT&T, the largest carrier in the United States.



Four Voice Products

MobileAd technology includes four products. The new piece is called the MobileAd Xchange. MobileAd Xchange makes Apptera a kind of Google of the voice ad world in that it uses the bid model. Ads are placed based on the value and the amount of the bid.



Anyone from a small business to a major enterprise can register their ads to run on the voice systems of multiple service providers on the exchange.



For instance a local pizza chain can have its ads placed anywhere in Apptera’s network of clients. So the ad can show up on AT&T’s free directory assistance service or on calls to the local multiplex.



The pizza shop can also send an electronic coupon to the caller who decides to visit the pizza shop after the movie.



MobileAd Server is designed for marketers and service providers. It automatically selects the most appropriate ads to play, depending on the information collected from and about the callers.



For instance a caller seeking to purchase a movie ticket by phone would hear Samuel L. Jackson touting his upcoming movie.


MobileAd Manager can be used by advertisers to record and manage the actual ads, while MobileAd Reporter generates business intelligence reports.

Source : Red Herring

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Pub sur mobiles : quelques pistes intéressantes

Vringo a évoqué un modèle publicitaire pour mobile intéressant dans l'absolu, consistant à envoyer sur le téléphone du destinataire, avant la conversation, un message publicitaire, probablement vidéo. Une "ringback" inversé, en quelque sorte. Le dernier paragraphe mérite réflexion : avant de chercher à monétiser de la vidéo sur mobile, ne conviendrait-il pas d'abord d'étudier la manière dont les utilisateurs de mobiles interagissent avec ce type de contenus ?

Companies serving the mobile population are finding ways to reach users that don't require mobile Web access. This week at AlwaysOn in New York, several companies pitched their applications to the audience and venture capital firms.

Ringtones seem to be gaining popularity as a means of phone personalization, though ringbacks, a song or sound that replaces the ringing a caller hears, have never fully reached mainstream in the North American market. While a call recipient pushes ringbacks to the caller, a company called Vringo wants callers to push video and associated audio to the person receiving a call.

Vringo recently began a private beta test, and plans to open its services to the public. The company is working with movie companies, TV networks, and even marketers to make ads available for video ringtones. It also plans to allow users to send videos captured on their handsets to friends via a call.

"We've opened up a huge new wealth of real estate, that is the call," said Vringo CEO Jonathan Medved. "We've decided this is time to do content sharing."

An ad model is planned. In the case of movie trailers, a "click to get movie tickets" ad may run, for example. Advertising will likely cover half the cost of the calls. Currently, and likely at launch, users must subscribe to the service.

"It combines consensual behavior with rich ads," said Medved.

The model was met with mixed reactions. Eric Hippeau, managing partner at SoftBank Capital said, "It's reasonable to think video is going to be the next one to come, though there are issues with handsets available today." He continued, "There might be rights issues, and sensitive content issues."

Mobile phone users in the U.S. may be slow to adopt the mobile Web, but some services bring content to handsets without the use of Internet and WAP sites.

One company has found a way to deliver two forms of ads through content partners. Rapid Mobile, through its ad360.com interface, serves graphical ads while search results for classified ads load. Categories include autos, jobs, real estate and dating.

"We see small ads as a huge opportunity," said Rapid Mobile CEO Richard Marshall.

Through the interface, advertisers are able to design or upload an ad, scale it to individual handsets, and place buys. The service has gone through testing and is being rolled out in the U.K. There are plans to expand to the U.S. and other countries.

Hippeau's quick response was positive, though cautious. "It's one in a marketplace with quite a few players; scale is going to be important."

Charles Hudson, an executive with Google New Business Development, closed the session featuring Vringo, Rapid Mobile and a handful of other presenters with a few thoughts. "What are the content types and user models that make people want to engage in this content?" he asked. "Let's continue to think about how to get people to interact with this media first, before we think about how to monetize."

Source : Clickz.com

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51 millions de mobiles en France


L’Arcep a publié son tableau de bord concernant la téléphonie mobile en France.

La France compte un peu plus de 51 millions de mobiles (51 692 900 plus exactement) au 31 décembre 2006. Pour la première fois, l’Arcep a établi ses calculs de pénétration sur le recensement de la population française effectué par l’Insee au 1er janvier 2006 alors que précédemment le taux de pénétration se calculait à partir des chiffres de la population française en 1999. De fait, le taux de pénétration atteint 81,8%. Sans surprise, la plus grosse part du gâteau revient aux trois opérateurs traditionnels : Orange (45,2%), SFR (35,1%) et Bouygues Telecom (16,96%). Le parc des MVNO (opérateurs virtuels) représente 2,79% du marché français. Au dernier trimestre 2006, ils n’ont séduit que 438 200 clients. A la fin 2006, on comptait 1 392 100 abonnés à l’un des dix MVNO présent. Le trafic national du SMS, cher aux opérateurs, s’établit à 4 344 498 sur le dernier trimestre. L’abonné envoie 28,9 SMS par mois contre 26,6 au trimestre précédent. Outre le SMS, le « mobilnaute » utilise de plus en plus les services multimédias (Wap, i-mode, MMS, mail). Ils étaient un peu plus de 15 millions contre 13 auparavant (septembre 06). Le portage du numéro a bien du mal à décoller puisqu’en décembre dernier, ils étaient 134 400 à changer d’opérateurs contre 90 800 en décembre 2005.
L’ARPU (chiffre d’affaire mensuel moyen) par abonné a atteint les 37 euros en décembre 2006 soit une augmentation de 0,4 euro par rapport à septembre.

source : mobile achat

Le Crédit Mutuel investit dans NRJ Mobile

Avec plus de 340 000 abonnés, NRJ Mobile se classe deuxième MVNO derrière Tele2. Cette performance n'a pas échappé au groupe bancaire Crédit Mutuel-CIC qui à l'issu d'une augmentation de capital de 60 millions d'euros portera sa participation de 10 à 50%. Ce renforcement de partenariat va aider au développement de NRJ Mobile. En 2006, l'opérateur virtuel a réalisé un chiffre d'affaires de 24,3 millions d'euros mais n'a pas atteint l'objectif des 350 000 abonnés à la fin 2006.

Bientôt un concurrent à Google ?

Selon le Sunday Telegraph, les grands opérateurs mobiles prévoient de se réunir au 3GSM de Barcelone pour discuter de la création d’un moteur de recherche commun. Vodafone, Telefonica, Telecom Italia, Hutchison, Orange, Deutsche Telekom, et Cingular veulent en effet dresser un obstacle à Google et Yahoo, devenus concurrents sur le terrain de l’Internet mobile. Mais l’initiative est sans doute un peu tardive. Car les moteurs de recherche « historiques » ont déjà mis un pied dans l’univers du mobile via des partenariats avec les opérateurs eux-mêmes (Google avec Vodafone, T-Mobile, 3 de Hutchinson et China Mobile ; Yahoo avec Vodafone et 3…). Google envisagerait même de lancer un terminal (lire ici)… D’où l’hypothèse retenue par le journal selon laquelle les opérateurs pourraient aussi décider de faire alliance plutôt que barrage.

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Le Nokia N70 Black lit les tags


Le Nokia N70 Black, commercialisé chez Orange et SFR, embarque l'application "Mobile Tag" développée par la société Abaxia. Les tags sont de petits carrés noirs contenant des informations cryptées (écriture matrix) que l'on peut retrouver dans la presse papier, sur des panneaux publicitaires ou sur un écran de télévision. Grâce au capteur 2 mégapixels, le N70 Black photographie ces tags, les décrypte afin que vous soyez dirigé vers le service en question via le Wap ou le Web. On pourra également faire de même avec les cartes de visite intégrant un tag. Ainsi les coordonnées seront automatiquement inscrites dans le répertoire.

Saturday, February 03, 2007

Ericsson : pas de licence 3G en Chine pour 2007


Depuis quelque temps, équipementiers en télécommunications et opérateurs mobiles lorgnent sur les licences 3G que les autorités chinoises doivent déléguer pour qu'une entreprise puisse profiter de cette technologie dans le pays. Seulement, certains observateurs trouvent le temps long et Ericsson, lui-même, estime qu'elles ne seront pas disponibles avant 2008.

" Nous ne nous attendons pas à ce que des licences 3G soient délivrées cette année " a déclaré le chef exécutif d'Ericsson, Carl-Henric Svanberg, lors d'une conférence de presse relayée par Reuters. Il s'agit par ailleurs d'une des estimations les plus pessimistes du marché.


La Chine souhaite imposer son propre standard ?
Le marché chinois étant considérable, l'enjeu est particulièrement important pour les acteurs de la téléphonie mobile mais Svanberg s'attend à ce que le TD-SCDMA, standard chinois de conception maison, ait " le champ libre " pour se déployer. Pour autant, ilLe constructeur suédois Ericsson a indiqué aujourd'hui que la Chine se garderait probablement de fournir des licences 3G sur son territoire pour cette année 2007, même s'il reste optimiste pour ce marché. indique que la technologie 3G WCDMA est ce qu'il estime la suite logique des réseaux GSM, réseaux sur lesquels sont basés la plupart des téléphones mobiles actuels.

" Donc éventuellement, le WCDMA aura une bonne part de l'offre 3G en Chine. (...) Ce qui arrive aujourd'hui, c'est que les opérateurs se tiennent sur leurs gardes, et maintenant qu'il y a une demande pour l'expansion de la 2G, alors nous verrons une bonne et loyale concurrence chinoise cette année " a t-il cependant ajouté.

En décembre, le gouvernement chinois avait indiqué qu'il étudierait la question des licences 3G " très prochainement ", suscitant l'enthousiasme des opérateurs.

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Friday, February 02, 2007

Plus de 100 millions d'abonnés aux réseaux mobiles 3G en 2006

AMSTERDAM (Reuters) - Les opérateurs télécoms ont connecté en 2006 quatre millions d'abonnés par mois aux réseaux de troisième génération (3G), soit la plus forte croissance jamais enregistrée par une nouvelle technologie de téléphonie mobile, selon une fédération de professionnels.

Fin 2006, 146 opérateurs mobiles proposaient des services 3G dans le monde et 96 d'entre eux avaient déjà amélioré leurs réseaux, selon le GSA, qui regroupe des équipementiers télécoms.

Plus de 100 millions d'utilisateurs de téléphones portables, répartis dans 67 pays, souscrivent actuellement à une offre 3G, selon GSA.

L'utilisation de services 3G est importante pour les opérateurs parce que ces réseaux permettent des téléchargements plus rapides de musiques, de vidéos et de données. Mais surtout ce secteur affiche une croissance continue de ses bénéfices sur les marchés développés, où chaque adulte possède déjà un téléphone mobile et où la concurrence et les régulateurs font baisser les prix des communications vocales.

L'adoption de la 3G est plus rapide que celle des mobiles de deuxième génération (GSM) dans les années 90, a expliqué le cabinet d'études Informa. Quatre ans après son lancement, la 3G a séduit environ 50% d'utilisateurs en plus que le GSM après son introduction dans les années 90.

Néanmoins, la croissance des abonnements GSM est aujourd'hui plus forte que celle de la 3G en raison du boom sur les marchés émergents où un combiné GSM peut être acheté moins de 40 dollars, soit quatre fois moins qu'un téléphone 3G.

Les opérateurs mobiles comptent environ 2,7 milliards de clients. Chaque mois, la Chine et l'Inde enregistrent, à elles deux, six millions d'abonnés supplémentaires, la plupart étant des clients GSM.

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Sony Ericsson : à la conquête de l'Inde


Le numéro quatre mondial de la téléphonie mobile a annoncé son intention de produire et commercialiser des téléphones portables en Inde, grâce à des accords avec les fabricants Flextronics et Foxconn.

Dans un premier temps, Sony Ericsson fera fabriquer des mobiles à bas coût à Chennai pour le marché indien, avec des fonctionnalités (claviers adaptés) et du contenu dédiés. La société, présente en Inde depuis 2002, espère ainsi gagner en visibilité et étendre sa présence géographique avec l'aide des distributeurs locaux.

Faisant partie des trois plus importants fournisseurs de téléphones GSM du pays, Sony Ericsson poursuit ainsi sa stratégie de conquête des marchés émergents, pôles dynamiques du marché de la téléphonie mobile. Avec 105,4 millions d'abonnés GSM, le marché indien est l'un des plus actifs et des plus prometteurs au monde.

Pour le ministre indien de l'information et des technologies, l'annonce de Sony Ericsson montre l'intérêt et le potentiel de l'Inde dans la fourniture de produits technologiques répondant aux normes internationales.

Outre l'impact sur l'économie locale, cette décision confirme l'ambition de l'Inde de devenir l'un des principaux pôles technologiques mondiaux pour la téléphonie mobile.

source : generation nt

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Résister à la concurrence en Europe et conquérir des clients dans les pays émergents: comme les autres opérateurs téléphoniques historiques, France Té

Résister à la concurrence en Europe et conquérir des clients dans les pays émergents: comme les autres opérateurs téléphoniques historiques, France Télécom a appliqué cette recette en 2006, au prix de fortes réductions de coûts et d'effectifs.

L'opérateur français a publié jeudi un chiffre d'affaires annuel de 51,7 milliards d'euros, en croissance organique de 1,2%, conforme à ses objectifs et aux attentes du marché.

»Ce qui a tiré la croissance, c'est toujours la hausse de nos activités mobiles, de 5% au total (...), la hausse de nos activités dans les pays émergents, dans lesquels notre croissance est toujours à deux chiffres, et une meilleure résistance de nos activités résidentielles» (fixe et internet), a expliqué le directeur financier Gervais Pellissier.

France Télécom peut remercier ceux qu'il définit comme des »marchés à fort potentiel de croissance», où ses revenus ont bondi de 18,6%, tandis que dans »les marchés matures d'Europe occidentale», il limite la casse avec un chiffre d'affaires en recul de 0,8%.

Il a fait la liste de ces marchés, situés en Europe de l'Est (Pologne, Moldavie, Roumanie, Slovaquie), Afrique (Botswana, Cameroun, Côte d'Ivoire, Guinée Equatoriale, Madagascar, Mali, Sénégal), Moyen-Orient (Egypte, Jordanie), Asie (Vietnam), dans les Caraïbes (République Dominicaine) et l'Océan indien (Ile Maurice).

Des marchés qu'il attaque par la téléphonie mobile, avec une croissance supérieure à 20% dans les autres pays émergents, qui représentent désormais 12% de son activité mobile.

Il n'est pas seul à courtiser ces régions: l'opérateur historique espagnol Telefonica s'est implanté en Slovaquie, l'allemand Deutsche Telekom a misé sur la Pologne, le britannique BT a fait ses premiers pas en Inde.

En Europe, on ne parle plus de conquête mais de »résistance»: le marché est presque saturé, avec 90% de taux d'équipement en mobile. La concurrence y est effrénée, surveillée par les instances de régulation.

Face à la concurrence, France Télécom, qui a augmenté ses dépenses commerciales de 7,2%, a innové, en lançant le téléphone Unik, mi-mobile mi-fixe (64.000 clients en France), et incité ses clients à dépenser plus, avec des offres triple-play.

Résultat: l'opérateur français montre une »bonne résistance en France», selon M. Pellissier, son chiffre d'affaires perdant 1% dans le fixe et l'internet et gagnant 1% dans les mobiles. Son bilan mondial reste positif, avec 97,6 millions de clients, soit 15% en plus.

Quant à son nombre d'abonnés internet ADSL, 9,7 millions en Europe, il grimpe de 30%. En France, l'opérateur garde 49,5% du marché.

Mais cette résistance a un coût: depuis un an, France Télécom mène un programme de suppression de 16.000 emplois d'ici 2008, soit 8% de sa masse salariale. Près de la moitié du plan a déjà été réalisé, soit 7.886 suppressions d'emplois.

L'annonce a fait réagir les deux premiers syndicats du groupe, CGT et Sud: »la direction est fière de communiquer (sur) un solde négatif de 7.900 emplois», s'est désolé Sud dans un communiqué.

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Le futur de l'internet mobile est asiatique


Comme le rappelle Business Week, ce dont rêvent les Américains aujourd'hui en matière d'internet mobile est déjà opérationnel en Asie, et notamment en Corée et au Japon. Alors que les US commencent à se familiariser avec la 3G, ces pays sont déjà en train de passer à l'étape d'après, entre le HSDPA et le déploiement de réseaux Wimax. Et la guerre des prix, des débits, et des volumes de données est déjà lancée.

source : business week.

Americans yearning for a turbo-charged mobile Web can have a peek into such a tech utopia in the Far East. In South Korea and Japan, mobile TVs already are commonplace. And young people in those countries use their handsets to snap pictures of cute guys and girls and zap them to friends, play online games, and pay for goods using digital money.

Just as the U.S. is becoming acquainted with the term 3G (for third-generation mobile technology), Korea and Japan are zooming ahead into a post-3G world. Korea's wireless carriers have plowed some $5.4 billion into nationwide networks called High-Speed Downlink Packet Access, or HSDPA, the buildout of which will be completed this spring.

These new information superhighways will move data at a maximum speed of up to 3.6 megabits per second—faster than DSL lines in many U.S. households (see BusinessWeek.com, 11/6/06, "High-Speed Wireless Dreams").

At the same time, Korea's largest fixed-line carrier, KT (KTC), is rolling out an even faster wireless network throughout Seoul and its vicinity, where more than a quarter of the nation's 48 million inhabitants live and work. It uses the mobile WiMAX standard, an outgrowth of WiMAX backed by chipmaker Intel (INTC). "Broadband wireless access to the Net will be a big theme in Korea this year," says Cho Sung Kil, director at KT's mobile Internet business group.

In Japan, meanwhile, Softbank and NTT DoCoMo (DCM) began offering service on their HSDPA networks, although neither has immediate plans to expand this ultra-fast mobile hookup to cover the entire country. All major wireless operators there have been field-testing mobile WiMAX for the past few months, but the government has yet to hand out licenses.

Supporting More Gadgets

Unlike the current generation of WiMAX, which is designed for stationary use, mobile WiMAX can maintain a connection even when a user is traveling in a car moving at speeds faster than 60 miles per hour. "You can do video conferencing, Web-surfing, video-watching, and online shopping all while you are on the go," says KT's Cho. "You no longer have to be tied to your PC at home or office."

That's not to say the mobile Internet is a novelty in Korea. More than 3 million Koreans regularly use their mobile phones to log on to the giant Cyworld social networking site. And hundreds of thousands take photos and make video clips with their handsets and post them onto home pages and sometimes send them to TV companies for broadcasting.

Still, the new networks will support a broader array of gadgets, including laptops and PDAs with larger screens. "I'll certainly watch TV programs through the Net and play some online games during my longish train rides," says a graduate school student at Sogang University in Seoul. "The big question will be whether the services will be offered at an affordable price."

Pondering Prices

Carriers are still working that out. SK Telecom and KTF, Korea's two largest mobile carriers, which already have HSDPA networks covering 84 major cities, both are charging $32 a month for up to one gigabyte of data downloads or transmission. To grab market share, KTF has promised it will offer new HSDPA subscribers cheap handsets starting in March.

Fixed-line player KT, which also controls KTF, is planning to launch an even more attractively priced mobile WiMAX service called WiBro—short for wireless broadband. The company is considering charging around $17 a month for unlimited use, according to Cho. KT officials are betting that the growing popularity of user-created content will make WiMAX the technology to beat.

"The big advantage of mobile WiMAX is its superior speed in the uplink," says KT's Cho. WiMAX networks support data speed of up to 5 megabits per second, while HSDPA's uplink speed of just over 500 kilobits per second is not enough for fat video files (although its downlink speed is fast enough for most downloads).

Major Investments

Stateside, WiMAX got a shot in the arm in August when Sprint Nextel (S) said last August it would spend $3 billion to build an entire Web-based phone network tuned to the technology (see BusinessWeek.com, 12/17/06, "Sprint's Secrets to Cost Cutting: WiMAX"). Besides Intel, Motorola (MOT) and Samsung Electronics (SSNGY) have also invested heavily in the technology.

Gadget makers are rolling out devices to support both kinds of high speed networks. Samsung, which to date has launched two HSDPA-ready phones, has also developed a mobile WiMAX-compatible handheld that serves as a miniature PC and TV as well as a music player and digital and video camera. It plans to make devices that support both technologies (see BusinessWeek, 11/8/06, "Samsung's Next-Gen Wireless Vision").

These wireless broadband networks will make it simple for users of notebook PCs to get on-the-go access to the Web. "It will certainly make my life easier," says Kim Sun Chul, a 29-year-old software programmer working for an online game company. "Even if I have to fix problems for a game server, I won't be chained to a studio."

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Quel modèle économique pour la TV mobile

Vaste sujet que celui qu'aborde le JDN, à savoir les moyens de rentabiliser les coûteuses infrastructures de la TV sur mobiles utilisant la DVB-H, préférée à la 3G pour des raisons de saturation trop rapide du réseau. L'UDCast préconise le développement de la publicité, et notamment de la publicité locale, sur la base d'observations comportementales chez les Italiens et les Finlandais

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La Chine passe directement à la 4G

La presse officielle chinoise a annoncé les premiers tests de réseaux 4G dans la ville de Shanghai. Peu de détails ont filtré sur cette annonce, si ce n'est que les premières expérimentations publiques devraient démarrer à partir de 2010.

source : eweek.

SHANGHAI (Reuters)—China, still working on its long-delayed homegrown third-generation wireless standard, has leapfrogged itself by launching the world's first fourth-generation standard, state media said on Monday.

Data-rich 3G telephony—which allows high-speed transmission of data and images—is not yet available in mainland China.

But a group of 10 "leading domestic institutions" called the "FuTURE Project" on Sunday rolled out 4G in Shanghai, the official China Daily reported.

China aims to hold field tests for the 4G system—whose rollout has cost 150 million yuan ($19.3 million) and will allow data transmission at up to 100 megabytes per second, several times faster than current technology—and put it into trial commercial use up until 2010, the paper added.

China's long-anticipated and long-delayed issue of third-generation licenses is expected later this year by most analysts.

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Internet mobile : usages en hausse en Grande-Bretagne


La Mobile Data Association s'est félicitée d'un nouveau record de connexion à Internet via les terminaux mobiles sur décembre 2006, avec 15,9 millions d'accès. Sur le dernier trimestre, le total s'établit aux environs de 45,6 millions d'accès. Des chiffres à relativiser, d'abord à cause de "l'effet cadeau de Noël", et ensuite parce qu'il faut diviser ces chiffres par le nombre d'abonnés 3G et par le nombre de jours dans le mois. Les usages se développent, mais lentement.

source : bbc news

Mobile phone users in the UK accessed the internet via their handsets about 15.9 million times throughout December 2006, says the Mobile Data Association.

The association's report shows an increase of one million unique sessions over November 2006, the prior record.

However, much of the recent increase could be due to seasonal gift-giving said Thomas Husson, a mobile analyst at Jupiter Research.

In the past three months, mobile users accessed the web 45.6 million times.

Unique consumer internet sessions on the O2, Orange, T-Mobile and Vodafone networks were included in the report.

Despite the new numbers, Mr Husson said mobile data was "far from being mainstream".

More usage in 2007

He added that an increase in data use should be expected over the next year due to a larger installed base of internet-capable mobile phones, better user experiences, user education, and new consumer-friendly price points.

Nick Lane, principal analyst at Informa Telecoms and Media, reiterated the importance of user education.

"The continued advancement of handsets means people are beginning to spend more time familiarising themselves with new services," most common of which are news, sport and weather updates Mr Lane said.

He said that by the end of 2007, 797.6 million mobile phone subscriptions worldwide, or roughly 25%, will include web browsing.

Location based services

Both analysts said that location-based mobile services should be a growth area for mobile data in the coming year.

In a recent survey conducted by Informa, consumers repeatedly ranked location-aware services like maps as a highly desirable handset feature.

"All the major players are starting to build services around navigation and maps, but they're still new," and aren't quite ready yet Mr Husson said.

"It's only a question of time" before location services will be added to the increasing amount of digital information available on handsets, he added.


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