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Monday, May 28, 2007

Thèse sur l'interactivité des médias


Alexandre Cabanis a rédigé une thèse portant sur un thème très porteur :" Médias traditionnels et acteurs du Web 2.0 : vers la cohabitation ou la convergence des acteurs de l’information et du divertissement ?". Vous pouvez dès aujourd'hui en trouver une synthèse.
Cette thèse écrite par Alexandre Cabanis est un excellent résumé du Web 2.0 pour ceux qui n'auraient pas surfé sur le Web depuis 1 an, ou qui ne suivent pas les dernières annonces d'introduction en bourse…

L'intérêt de ce travail c'est qu'il est accessible à tous.

Un bon résumé du Web 2.0
Voici les principales idées rappelées dans cette thèse:

Il faut donner la parole aux internautes pour qu'ils puissent donner leurs avis (ex: commentaires, co-rédaction dans les Wiki…).


L'importance d'avoir des liens en retour (backlinks) pour les bloggeurs: à la fois pour la reconnaissance et pour recevoir plus de trafic.


L'intérêt pour un blog d'avoir un bon contenu, mais aussi et surtout, être un lieu de débat et de discussion car c'est cela qui donne toute sa valeur au blog.


L'interactivité des auteurs et des lecteurs : désormais un article peut être critiqué, amélioré, débattu… après sa parution officielle.


La montée en puissance des flux RSS, qui pourraient bien menacer les sites d'actualités dont le business model est l'affichage de publicité sur leur home page.


L'importance de la mise en relation entre internautes, bloggeur… - Que le CPM tendra inexorablement à être remplacé par le CPA


Cette thèse rappelle les différents rôles de l'internaute : créateur (via les blogs, les commentaires, les avis…), co-créateur (via les Wiki, les Digg like…) et éditorialiste (mise en page de ses pages via les agrégateurs de flux RSS…). Ce qui permet de trouver de nouveaux services et fonctionnalités à proposer sur son site.

Alexandre Cabanis rappelle tout de même que le succès de ces plateformes repose surtout sur la quantité de participants, car ce sont eux qui contribuent au succès d'un concept grâce à la création, l'enrichissement, le bouche à oreilles…

Au final on arrive à un cercle vertueux gagnant-gagnant où le bloggeur nourri un site qui lui renvoi en échange des visiteurs, et tout deux bénéficient des retombées publicitaires.

Le Web 2.0 est également décrit comme un outil qui permet de diffuser plus facilement du contenu (vidéo, podcast…), et laissant parler la créativité et le marketing viral, avec l'émergence des mashups et des API fournies par les gros sites Web. C'est aussi un relais pour les médias comme la radio et la TV en permettant un visionnage différé des programmes ne nécessitants pas le direct.


Une vision critique
Par contre on a du mal à croire Alexandre lorsqu'il reprend les paroles de Philippe Meyer qui annonce la fin des journaux papier pour 2043 ! Dommage que l'auteur n'est pas abordé les problématiques de presse interactive sur les teléphones portables via les nouvelles technologies comme mobiletag.

Néanmoins c'est vrai que les arguments avancés restent très vrais : les médias traditionnels (journaux, magazines…) ont tout intérêt à s'adapter au business model de la lecture "gratuite" des articles plutôt que de tenter de faire payer l'information (abonnements…).

Le business model "Web 2.0" étant basé sur les revenus de la pub contextuelle (et dans une moindre mesure de services Premium), pour dégager suffisamment de revenus, il faut attirer un maximum de lecteurs… Ce qui veut dire être bien positionné sur les moteurs de recherches, et le meilleur moyen d'avoir un bon positionnement c'est justement d'offrir un maximum de contenu gratuit.

La conclusion de cet ouvrage est simple (simpliste ?) : la presse traditionnelle n'a que deux opportunités, soit passer dans le camp du tout gratuit (et baser ses revenus sur la pub), soit choisir l'hyper spécialisation…

Wednesday, May 23, 2007

KPN, acheteur de Bouygues Telecom ?

Pour les milieux boursiers, cela ne fait aucun doute, le géant du BTP Bouygues vendra tôt ou tard sa filiale de téléphonie mobile malgré les nombreux démentis de ce dernier. Selon notre confrère Laurent Redondo Sanchez du site http://www.belgiquemobile.be, l'opérateur néerlandais KPN , frustré d'avoir raté Orange et O2, serait fortement désireux d'acquérir Bouygues Telecom. Points communs entre les deux opérateurs : l'i-mode et Mobile Challengers, groupe censé défendre les petits opérateurs. Affaire à suivre...


Source mobilesAchat

Mobiles : les géants veulent pousser la publicité


La GSM Association lance un vaste programme visant à faire décoller la publicité sur 'le 4è écran'

Les terminaux mobiles devraient très rapidemet devenir une manne publicitaire, à l'image de ce qui s'est produit sur Internet. Opérateurs, éditeurs et observateurs en sont convaincus. Le développement des contenus pour mobiles (musique, vidéo, télévision) va permettre à ce marché d'exploser. Mais, actuellement, la pub sur mobile reste encore marginale et limitée aux supports comme le sms ou le mms.

Pour dynamiser ce marché, la GSM Association (GSMA) réunissant 700 opérateurs mondiaux (soit 2,4 milliards d'utilisateurs), lance aujourd'hui un beau programme de promotion et de standardisation de la pub mobile.

Le 'Mobile Advertising Programme' vise à promouvoir des standards techniques et de mesure de l'audience communs et des cahiers des charges de conduites. Il sera piloté par le 'GSMA Mobile Media and Entertainment Group' composé de AT&T, 3, KTF, Orange, Smart Communications, T-Mobile et Telefonica O2 Europe.

"Le mobile permet aux annonceurs d'accéder à un niveau de personnalisation inconnu dans les autres médias", déclare Bill Gajda, Chief Commercial Officer pour la GSMA. "Mais pour que ce potentiel se transforme en réalité, les industries du mobile, de la publicité et des contenus doivent travailler de concert afin d'établir des standard communs, notamment en terme de formats publicitaires et de mesure d'audience", ajoute-t-il.

Cette initiative commune en vue de faire décoller ce marché est une bonne nouvelle pour le secteur. Notamment au niveau de la mesure d'audience, une problématique très pénalisante.


Les annonceurs et les agences de publicité doivent inventer de nouveaux formats et s'inspirer de ce qui se fait par exemple au Japon. "On ne peut pas se contenter de dupliquer les recettes du Web. Ceux qui comprennent les attentes du marché sortiront du lot", affirme Pierre Lebeau Sales Product pour Google France.

Ainsi, les services géolocalisés ou les Flash-code ou MobileTag (sorte de code-barre que l'on photographie avec son mobile et qui renvoit vers une page Web) devraient très vite s'imposer. Il s'agit ici de réduire le plus possible la profondeur d'accès à l'information. Des campagnes mobile + offline ont également un fort potentiel.

Mais selon tous les participants, il faudra du temps avant que le marché ne décolle. L'objectif est d'abord de créer des usages et de fidéliser les mobinautes avant de les bombarder de publicité. Ce qui n'est pas gagné car l'usage de contenus mobiles a tendance à stagner. Rappelons qu'il a fallu 10 ans au Net pour devenir un acteur de poids en termes d'investissement publicitaire

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Deutsche Telekom pourrait reprendre Orange Pays-Bas

L'opérateur téléphonique allemand, Deutsche Telekom, est bien parti pour remporter la bataille pour la reprise de l'activité d'Orange (groupe France Télécom) aux Pays-Bas, d'après des sources proches du dossier. Une transaction qui pourrait avoisiner les 1,6 milliard d'euros.
Deutsche Telekom se fraye un chemin sur le marché des télécoms néerlandais. L'Allemand serait en effet en passe de racheter la filiale d'Orange au Pays-Bas, pour 1,6 milliard d'euros. D'après plusieurs sources, il est en compétition avec un groupement de fonds de private equity,

En cas de victoire de l'opérateur télécoms allemand serait en mesure de fusionner les troisième et quatrième opérateurs mobiles néerlandais, réduisant au passage le nombre de concurrents sur l'un des marchés les plus compétitifs d'Europe. Orange Netherlands détient une part de marché de 11% environ dans la téléphonie mobile aux Pays-Bas et compte près de 600.000 abonnés à l'internet haut débit.

Mais les opérateurs doivent aussi compter avec l'appétit des fonds de private equity. Greenfield Capital Partners a racheté en 2003 l'activité néerlandaise d'O2 pour 25 millions d'euros seulement, et l'a revendue deux ans plus tard à l'opérateur néerlandais KPN pour 1,12 milliard d'euros.

Depuis qu'O2, l'opérateur mobile britannique appartenant aujourd'hui au groupe espagnol de télécommunications Telefonica, s'est retiré du marché néerlandais en 2003 et qu'il a vendu sa filiale locale en difficulté au fonds de private equity Greenfield Capital Partners, les analystes tablent sur une consolidation du secteur.

SPIR COMMUNICATION s'offre 80% de Mobiljob

Spir Communication a annoncé qu'il avait acquis 80% du capital de la société Mobiljob. Le Groupe consolide ainsi son pôle Médias et devient le premier groupe français à proposer une offre de communication globale (Papier / Web et Téléphonie mobile) sur le marché de l'emploi, tant pour les candidats que pour les entreprises qui recrutent. Lancé en 2005, Mobiljob est expert de l'emploi non cadre sur le marché en plein essor de la téléphonie mobile

"L'arrivée de Mobiljob au sein du Groupe Spir Communication permettra de mettre en place des synergies fortes et innovantes sur le marché de la téléphonie mobile qui se structure et étoffe son offre de services grand public. La convergence des audiences respectives (145 000 visiteurs uniques par mois sur Internet mobile, 12,9 millions de lecteurs réguliers des journaux gratuits Top annonces et 2,6 millions de visiteurs
uniques mensuels au cumul des différents sites internet de Spir Communication) laisse augurer du très large potentiel de communication proposé désormais par l'offre " triple Play " (Print + Web + Mobile) du Groupe ", annonce Spir Communication.

Monday, May 14, 2007

Nokia : renforce son partenariat avec China Postel

Nokia a signé un accord stratégique avec la société chinoise China Postel Mobile Communication Equipment (China Postel). Le distributeur chinois devrait racheter pour près de 2,5 milliards de dollars de mobiles auprès de Nokia en 2007.

En outre, les deux entités envisagent de renforcer leur relations stratégiques et notamment de développer conjointement leur réseau. En effet, les deux entreprises réalisent déjà des investissements bilatéraux importants.

Saturday, May 12, 2007

Télévision mobile sans limite : Bruxelles donne son feu vert à l'Etat français

Le projet Télévision Mobile Sans Limite (TVMSL) bénéficiera bien des subventions de l'Etat français. Le 10 mai 2007, la Commission européenne a autorisé l'octroie d'une aide de 36,7 millions d'euros par l’Agence française de l’innovation industrielle (AII) au projet TVMSL. Celui-ci est piloté par Alcatel-Lucent (plus précisément Alcatel avant sa fusion avec Lucent) et soutenu par dix partenaires (7 industriels et 3 organismes publics de recherche). La TVMSL est l'un des cinq projets de R&D prioritaires présentés en avril 2006 par l'AII.

Télévision Mobile Sans Limite est un projet de diffusion hybride de télévision sur mobile à la fois terrestre (via les antennes relais) et satellite en vue d'une standardisation européenne. Il s'appuie sur la bande S (2,2 GHz) de la norme DVB-H qui doit être généralisée en 2008.

La bande S est une bande de fréquences télécoms réservée à un usage satellitaire. Disponible sur tous les continents, et particulièrement en Europe, elle permet le déploiement de nouveaux services et usages sur les infrastructures réseau existantes, ce qui limite les investissements nécessaires à son déploiement. Elle vient ainsi compléter les réseaux de téléphonie mobile GSM/GPRS (Edge) et UMTS/HSDPA (3G/3G+) tout en assurant la compatibilité descendante. Le DVB-SH a été approuvé le 14 février 2007 par le forum Digital Video Broadcasting.

Les premiers terminaux d'Archos attendus fin 2007

En exploitant la diffusion satellite, le DVD-SH se distingue par sa capacité à couvrir les zones blanches (non servies par les relais terrestres) tout en offrant un nombre illimité de chaînes de télévision. La norme assure également une meilleure qualité de réception, particulièrement à l'intérieur des immeubles (à condition de disposer d'un terminal double antenne pour la réception satellite) et décuple les services interactifs. Enfin, la solution intègre un service de gestion de crise qui permettra aux autorités nationales d’alerter rapidement la population si besoin.

La TVMSL est naturellement destinée aux téléphones mobiles mais aussi à tout type de terminal vidéo. A travers un accord de développement et marketing signé en novembre 2006 avec Alcatel-Lucent, le constructeur français de terminaux nomades de divertissement Archos prévoit de commercialiser les premiers lecteurs vidéo compatible DVB-SH au cours du quatrième trimestre 2007. A cette même période devrait également apparaître des combinés téléphoniques Sagem, par ailleurs contributeur au projet. Ce qui semble bien prématuré. Démarré le 1er mai 2006, les travaux sur la TVMSL s'étendent sur trois ans en vue d'une ouverture généralisée du service en 2009.

Un projet franco-français, regrette la Commission européenne

L'aide de l'AII, distribuée sur 4 ans, se décompose en 17 millions de subvention et 21 millions d’avance remboursable. Le projet de développement global est estimé à 98,4 millions d'euros au total. "Ce programme de recherche et développement bénéficiera aux consommateurs européens en élargissant l’offre de télévision mobile en Europe", a soulignée Neelie Kroes. La commissaire chargée de la concurrence de la Commission européenne salue également le partenariat de développement public-privé du projet mais "regrette seulement qu’à la différence de ses prémices financées par la Commission, cette collaboration ne dépasse pas les frontières de la France ".

Les diffuseurs de toutes nationalités ne devraient pas manquer de se précipiter si l'on en croit les perspective. Le marché européen pour la télévision sur mobile est estimé à 10 milliards d'euros pour 2010. Les utilisateurs seraient prêts à débourser entre 5 et 10 euros supplémentaires par mois pour recevoir des programmes télévisés sur leur mobile.

Wednesday, May 09, 2007

Etisalat - operateur Egyptien - entre enfin dans l’arène


Etisalat est opérationnelle depuis le 1er mai. Les tarifs proposés ne font pas d’ombre à ses concurrents Mobinil et Vodafone, mais la société compte sur les nouveaux services de la 3G pour séduire les consommateurs.
« Certaines choses ne valent certainement pas l’attente ». Les commentaires ironiques n’ont pas manqué à l’issue de la conférence de presse organisée le 30 avril dernier, annonçant l’entrée en service, le 1er mai, d’Etisalat, la troisième société de téléphonie mobile en Egypte. Cinq mois, marqués par le slogan « Certaines choses valent l’attente », ont en effet déjà passé depuis qu’Etisalat a acheté sa licence d’exploitation. Mais les prix annoncés sont bien plus chers que ceux de ses deux concurrents, Mobinil et Vodafone, sur le marché depuis bientôt 10 ans. D’où le persiflage des journalistes.

Même si le prix de la ligne (abonnement ou carte) est le même, voire parfois moins cher, que celui de Mobinil et Vodafone, le prix de la minute de communication et du SMS est, lui, de 25 à 30 % plus cher chez Etisalat (voir encadré). A la grande déception des consommateurs qui s’attendaient à une tendance inverse, surtout après l’augmentation des tarifs de 35 % ces 2 dernières années. « Nous ne voulons pas mener une guerre des prix contre nos concurrents », se défend Hazem Métoualli, directeur exécutif du secteur commercial de l’entreprise. « Nous présentons simplement un service d’un genre différent et de qualité supérieure. Il s’agit des services et des appels audiovisuels que permet la technologie de 3e génération (3G). Etisalat a cependant fait un joli coup marketing. En ce qui concerne les cartes prépayées, les prix indiqués incluent les taxes. Alors que les prix des cartes de Mobinil et Vodafone sont indiqués hors taxes », ajoute-t-il

Etisalat parie donc sur la technologie 3G et compte ainsi attirer 3 millions de clients fin 2007, séduits par la visioconférence et d’autres facilités comme la transmission rapide des données.




Plusieurs experts s’attendaient à ce niveau de prix. D’autant plus qu’Etisalat a dépensé près de 20 milliards de L.E., 17 pour l’achat de la licence et 3 autres pour l’infrastructure. « Etisalat ne peut pas commencer avec des prix inférieurs à ceux de ses concurrents. Car il lui faut rentrer dans ses investissements et réaliser des profits. N’oublions pas qu’au tout début de la téléphonie mobile, la ligne coûtait entre 2 et 3 000 L.E. Mobinil a donc récupéré très vite. Même chose pour Vodafone, qui a profité d’un monopole pendant un an sur le marché des cartes prépayées. En revanche, Etisalat arrive alors que la concurrence bat son plein et sur un marché pratiquement saturé », explique Mohamad Fahmi, expert en télécommunications auprès de la société de courtage Prime.

Tarifs hyper concurrentiels

Car Mobinil et Vodafone ont déjà attiré un nombre très important de clients, notamment au cours de ces 5 derniers mois, grâce à de multiples offres d’abonnement à tarifs hyper concurrentiels. Selon les chiffres officiels de l’Organisme régulateur des télécommunications, les deux opérateurs se partagent presque à égalité quelque 20,32 millions d’usagers en date du 31 mars 2007. C’est pourquoi les deux opérateurs ne sont pas inquiets. « Nous avons une grande confiance en nos clients et capacités. Nos clients n’ont pas besoin de changer d’opérateur : nos services satisfont leurs besoins, en qualité comme en prix », a répété à maintes reprises Naguib Sawirès, PDG de Mobinil. Même son de cloche chez les responsables de Vodafone, qui a décroché la licence 3G. Omar Al-Cheikh, directeur des affaires gouvernementales chez Vodafone, affirme que « nos clients n’auront pas besoin de changer d’opérateur ». A noter que Vodafone a acheté la licence 3G pour la mettre en service au lendemain du début de l’activité d’Etisalat. Alors que Mobinil a lancé au début de l’année la technologie Edge (Enhanced Data Rates for Global Evolution). Une affaire qui a déclenché une longue bataille avec l’Organisme régulateur des télécommunications, auquel Mobinil s’est finalement plié en retirant le service du marché. « C’est une technologie de troisième génération et son utilisation exige l’obtention préalable d’une licence. C’est pourquoi Mobinil doit retirer ce service du marché dans un délai maximum de deux semaines », expliquait à l’Hebdo Omar Badawi, président de l’Organisme national de régulation des télécommunications. « La technologie Edge n’est qu’une version améliorée de la technologie GPRS (General Packet Radio-Service) utilisée par la société depuis 1998. Les technologies Edge et GPRS ne sont qu’une simple application de la deuxième génération. Elles ne nécessitent pas d’équipement particulier, comme c’est le cas pour la troisième génération », faisait de son côté valoir Mobinil, raison pour laquelle elle refuse encore aujourd’hui d’acheter la licence 3G.

Exclusivité chèrement payée

Quelles sont donc les chances du 3e opérateur de téléphonie mobile d’attirer un nombre conséquent de clients ? Sachant qu’Etisalat couvre seulement 40 villes et que les offres présentées sont destinées à la classe aisée.

Suivre un match de foot, des informations télévisées, ou encore appeler en visioconférence, c’est sur ces services qu’Etisalat compte attirer 3 millions de clients en un an et 10 millions au bout de 3 ans. Les premières statistiques révèlent qu’un tel objectif est réalisable. « Avant même le lancement d’Etisalat, 700 000 personnes ont réservé leur ligne. Un chiffre qui doit encore augmenter », affirme un responsable d’Etisalat. Une confiance renforcée par la possibilité de quitter Mobinil ou Vodafone en conservant son numéro exact (avec le préfixe 010 ou 012), après un accord obtenu auprès de l’Organisme régulateur des télécommunications. Une option possible dès la 3e semaine de fonctionnement d’Etisalat.

En somme, Etisalat propose une exclusivité chèrement payée, comme lors du lancement de la téléphonie portable en 1998. A cette époque, les consommateurs ont exprimé leur mécontentement face au prix très élevé d’une ligne de portable. Ce qui ne les a pas empêchés de se précipiter pour acheter. Un responsable au sein de l’Organisme régulateur des télécommunications, qui a requis l’anonymat, confie à l’Hebdo que l’expérience prouve que le consommateur égyptien aime l’exclusivité, même si cela lui coûte très cher. Il assure que Mobinil et Vodafone ont gagné quelque 70 millions de L.E. grâce au service Call Tone (consistant pour l’appeler à écouter une chanson choisie par l’appelé, au lieu des classiques tonalités d’appel). Un responsable de Mobinil avoue même qu’étant donné l’importante demande, ce service a dû être suspendu. « Dix millions des clients de Mobinil veulent ce service. C’est trop pour notre réseau. Nous travaillons à son élargissement, et en attendant, le service est suspendu ».

Les consommateurs risquent, aussi, de s’engouffrer dans la technologie 3G. Il semble bien que pour suivre un match de foot en douce au bureau, ou voir sa bien-aimée en l’appelant, on ne compte vraiment pas.

Source : hebdo al ahram

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41 milliards d'euros de revenus pour les opérateurs télécoms en 2006












Le revenu des opérateurs de communications électroniques sur le marché du client final s’élève à 41 milliards d’euros en 2006, dont 38 milliards d’euros pour les services de communications électroniques proprement dits. La différence entre ces deux montants correspond au revenu des autres services (vente et location de terminaux et d’équipements, annuaires, publicité, hébergement et gestion de centres d’appels, etc.).

Les trois principaux segments du marché (téléphonie fixe, Internet et téléphonie mobile) représentent ensemble 32 milliards d’euros en 2006, en progression de 1,9 % par rapport à 2005.

Source : JDN

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Tuesday, May 08, 2007

Capital-Risqueur.tv : nouvelle approche d'entreprenariat !

Lancement en Juin de Capital-risqueur.tv. Il s'agit de la permière web TV des entrepreneurs qui recherchent des financement ou relais de croissance, il s'agit également d'une plateforme video communautaire dédiée aux porteurs de projets.

Vous avez un projet dans le marketing mobile, vous souhaitez entreprendre dans le domaine du mobile en Europe, Asie, USA... prenez contact avec Capital-risqueur.tv : ici





Vous avez un projet ? Vous venez de lancer votre entreprise ? Vous gérez une jeune société de moins de 10 salariés et moins de trois ans d’existence ?

Vous rencontrez des problématiques auxquelles vous n'aviez même pas imaginées l'existances. CapitalRisqueur, par la longue expérience de son fondateur : Nicolas Goldstein, lance en Juin un nouveau concept : Des reportages sur les défis relevés par de jeunes entrepreneurs, des dossiers complets sur des thèmes choisis par les entrepreneurs, des centaines de présentations d'entreprises récemment créées et des conseils complets par des coachs et des spécialistes pour réussir cette aventure merveilleuse : la création de votre entreprise.

Capital-risqueur.tv est né d’une rencontre un jeune entrepreneur Nicolas Goldstein, et un chef d’entreprise reconnu également business angel, Denis Gihan.

En aidant des créateurs d’entreprises dont le plus célèbre est Benjamin Bejbaum, fondateur de Daily Motion, Denis a constaté que tous rencontraient au démarrage de leur activité les mêmes problèmes et mêmes interrogations.

Nicolas, qui aide régulièrement des entreprises technologiques étrangères à s’implanter en France, connait bien les difficultés liées à l'entreprenariat. Au retour d'un de ses nombreux voyages aux USA, il a eu l’idée de créer une webTV dédiée à la création d'entreprise.

En effet, en se lançant dans un tel projet, l’entrepreneur se opte pour de merveilleuses aventures, mais une aventure dangereuse dans laquelle il peut être isolé et confronté à des problèmatiques très variées pour lesquelles il n'a pas la meilleure solution, ni la meilleure réponse.

Capital-risqueur.tv est donc né de cette volonté d’aider l’entrepreneur. Soutien certe finançier, mais pas uniquement. C'st toute la valeur ajouté de Capitalrisqueur. Capital risqueur .tv apporte leur savoir faire humain, matériel, leur vision du marché, les erreurs à ne pas commettre, en lui donnant toutes les informations et contacts possibles pour l’aider à progresser efficacement.

En lancant la première WebTV communautaire dédiée aux entrepreneurs, Denis Gihan et Nicolas Goldstein veulent créer un espace d’informations, d’échanges, d’entraides entre les entrepreneurs eux-mêmes, mais aussi en apporter le soutien de chefs d’entreprises expérimentés, et l’aide de prestataires de services désireux d’aider ces jeunes entreprises destinées à devenir les stars économiques de demain.

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    Monday, May 07, 2007

    Le marché de la téléphonie mobile en Algérie en forte croissance

    La croissance du marché de la téléphonie mobile en Algérie a profité de la libéralisation du secteur des télécommunications dans le pays.

    L’ouverture du secteur de télécommunications en Algérie à la concurrence a permis à un grand nombre de citoyens d’avoir enfin la possibilité de posséder un téléphone portable. Le prix des puces a connu une baisse vertigineuse : jusqu’à 150 DA sur le marché informel. Ce dernier, très décrié par les opérateurs du secteur, s’est avéré un véritable fléau qui fausse toutes les données. L’introduction de portables contrefaits et ne répondant à aucune norme laisse craindre le pire, sur le plan de la sécurité à l’usage et sur les conséquences en matière de santé. Fautes de statistiques fiables, les chiffres annoncés par les fournisseurs d’accès sont toujours contestés par les responsables des ministères concernés par ce dossier.

    “Nous estimons qu’il y a 11 millions de puces actives en Algérie”, a déclaré Mme Houria Langar, directrice de la concurrence au ministère du Commerce, lors de la rencontre avec la presse organisée hier au siège de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) à Alger. Lors de cette rencontre consacrée au secteur de la téléphonie mobile, les intervenants (cadres du ministère du Commerce, des responsables d’entreprise de vente de téléphones et de puces et un expert en communication), ont mis l’accent quant à l’urgence de réglementer ce marché caractérisé par une anarchie avérée. “Cela fait des années que nous demandons l’intervention des pouvoirs publics pour mettre un terme au marché informel, en vain”, regrette pour sa part Azzedine Khadir, directeur général de la société Alérieka, spécialisée dans la distribution des téléphones portables et des puces.

    Thursday, May 03, 2007

    DigiWorld 2007 : l’Idate souligne les enjeux du monde numérique

    Acquisition de YouTube par Google, explosion du marché du mobile en Inde, fusion AT&T-BellSouth, avènement des nouveaux services sur la télévision HD... La septième édition du rapport DigiWorld met en évidence les données sur les mutations du monde numérique.
    Ce rapport a pour objectif de rassembler les analyses et les indicateurs clés pour les télécoms, l’Internet et les médias audiovisuels, en même temps qu’une chronique des tendances et des événements passés dans ces secteurs durant l’année.
    De l'affirmation du phénomène Web 2.0 à la recherche de nouveaux modèles économiques, en passant par la saturation relative du marché des mobiles en Europe et le poids croissant de la Chine et de l'Inde, le rapport DigiWorld dresse le tableau d’un monde technologique en totale mutation et des tendances à venir.

    Les tendances révélées au cours de l’année
    Quatre phénomènes semblent avoir pris de l’ampleur au cours de l’année 2006 pour continuer davantage leur ascension en 2007.
    Il s’agit du géant Google face au Web 2.0, qui annonce en 2006 l’acquisition de YouTube pour 1,65 milliard de dollars. Cette transaction et d'autres, opérées dès cette période ont bien entendu généré une interrogation sur le mode « bubble 2.0 ». Un évènement qui aura donc suscité un engouement pour de nombreux sites Web 2.0.
    L'acquisition de YouTube par Google met ainsi en évidence l'avance prise par le leader des moteurs de recherche sur les autres géants de l'Internet. L’importance des revenus que lui procurent ses liens sponsorisés a fait de Google le premier à bénéficier de la croissance de la publicité sur le Net, avec un chiffre d'affaires, composé à 90 % de revenus publicitaires. Ce dernier est passé de 6,1 milliards de dollars en 2005 à 10,6 milliards de dollars en 2006.
    Cette performance reconnue par les marchés financiers lui a donné une valorisation dépassant 150 milliards de dollars en janvier 2007. Yahoo quant à lui voyait son cours s'affaisser au cours de la même année malgré plusieurs acquisitions Web 2.0 significatives (Flickr et Del.icio.us).

    L’Inde marque également sa présence, durant l’année 2006, sur le marché des technologies informatiques et de la communication avec durant le seul mois d'octobre 2006, un nombre d'utilisateurs de mobiles en Inde qui a augmenté de 6,7 millions. Ce chiffre qui représente plus que les 5 millions mensuels du marché chinois montre l’importance de l’émergence de ce marché en Inde.
    Ce phénomène a suffit pour attirer les grands opérateurs occidentaux à la recherche de points de croissance. Ainsi, en fin d’année, Vodafone propose une offre de 8,5 milliards d’euros (hors 1,5 milliard d’euros de reprise de dette) pour les 67 % du 4ème opérateur indien, Hutchison Essar, détenus par Hutchison Whampoa. Cette opération est également à rapprocher de la vente en 2006 des parts minoritaires détenues par Vodafone sur les marchés matures en Belgique (Proximus), au Japon (Vodafone Japan) et en Suisse (Swisscom Mobile). Avec cette acquisition et d'autres, telles que l'opérateur turc Telsim en mai 2006, Vodafone compte bien réaliser le tiers de ses bénéfices sur les marchés émergents d'ici 5 ans.

    L’opération de fusion AT&T-BellSouth, fin 2006, représente la plus importante de l’année dans le secteur des technologies informatiques et de la communication puisqu’elle a été évaluée à 85 milliards de dollars.
    Le nouvel ensemble aura près de 70 millions de lignes et plus de 11 millions d'accès haut débit dans vingt-deux des Etats les plus peuplés.

    Même s’ils se situent à différents stades de développement, la télévision mobile, la télévision haute définition et la vidéo à la demande sont trois voies de développement qui semblent être prometteuses pour un marché de la télévision en faible croissance dans les marchés industrialisés.

    L’évolution du marché
    En 2006, l’Europe et l’Amérique du Nord concentraient encore 63% du marché du DigiWorld en valeur. En ajoutant le Japon et la Corée du Sud ainsi que les marchés des quelques autres économies avancées de la région Pacifique (Australie, Nouvelle-Zélande), l’ensemble représente toujours près des trois quarts du marché mondial en valeur.
    Ces régions ne représentent cependant que 50 % de la base de clients mobiles dans le monde.



    Ramenée au-dessous de 6 % en 2006, la croissance a cependant reposé pour moitié sur la dynamique des marchés émergents d’Asie et du reste du monde (Amérique Latine, Afrique Moyen/Orient). Le contraste entre le taux de progression de ces régions (12 % en moyenne) et celui des économies avancées (moins de 5 %) reste fort.
    Le marché européen maintient quant à lui une croissance un peu plus élevée que le marché nord-américain et ce, grâce à l’apport des pays de l’Est. L’Amérique du Nord semble cependant engagée sur la voie du ralentissement, après deux années (2004 et 2005) portées par une bonne progression économique générale et le cycle de renouvellement des équipements.
    Les marchés d’Asie/Pacifique continuent d’afficher des dynamiques en retrait, même si 2006 montre, notamment pour le Japon, des signes de reprise.




    En ce qui concerne l’ensemble des secteurs des technologies informatiques et de la communication, des éléments montrent qu’il devrait se produire une reprise de l’investissement aux États-Unis et en Europe.

    Source : itrmanager.com