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Thursday, December 27, 2007

La Chine veut s'offrir des réseaux 3G pour les JO

Le gouvernement chinois a annoncé, mercredi 26 décembre, un plan pour améliorer son réseau de téléphonie avec des services de haut-débit sans fil, afin d'améliorer la compétitivité du pays. Le gouvernement devrait ainsi adjuger des licences de téléphonie afin de pouvoir offrir des services de 3G durant les Jeux Olympiques se tenant à Pékin en août 2008. Pour Chen Haofei, analyste chez China International Capital interrogé par Reuters, cette mesure fait cependant davantage penser "à l'instauration de zones en réseaux Wi-Fi, qu'aux licences 3G tant attendues".

Source : JDN

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    Monday, December 24, 2007

    Japon: la "portabilité du numéro mobile" peu utilisée malgré sa simplicité

    Les opérateurs de téléphonie japonais redoutaient un exode de leurs abonnés..
    Mais plus d'un an après l'entrée en vigueur de la "portabilité du numéro mobile", qui permet de changer d'opérateur tout en conservant son numéro, les lignes de partage du marché n'ont presque pas bougé. Comparée à d'autres pays, la procédure au Japon est pourtant d'une prodigieuse simplicité.

    L'utilisateur qui souhaite passer à la concurrence n'a qu'à se rendre chez un distributeur multi-opérateurs, tels les hypermarchés de l'électronique Bic Camera, où un préposé s'occupera de tout: transfert du numéro, résiliation du précédent contrat, nouvel abonnement. Le "bon de portage", document délivré par l'actuel opérateur pour autoriser la conservation du numéro, est émis instantanément et le changement est effectif immédiatement.

    En France, la même procédure prend sept jours minimum. En moins d'une heure, un client de NTTDoCoMo peut ainsi migrer chez KDDI ou Softbank, ou vice-versa, et ressortir du magasin avec un téléphone très haut de gamme de 3e génération et demie (3,5G) en poche, rutilant et prêt à l'emploi. De plus, ravi d'avoir subtilisé un client à un rival, l'opérateur couvre souvent le nouvel arrivant de cadeaux de bienvenue: terminal à prix réduit, près de deux mois gratuits d'échange de données en volume illimité, etc.

    Avant la mise en place de ce système, en octobre 2006, l'abandon inévitable de numéro d'appel en cas de rupture de contrat était considéré comme le principal frein à la mobilité des clients. Les experts du secteur et cabinets d'études marketing s'attendaient à ce qu'un dixième environ des abonnés, se sentant enfin libres de partir avec leur numéro, plaquent leur opérateur. Pari perdu: au bout d'un an, seulement 3% des plus de 100 millions de clients ont utilisé leur nouveau droit.

    Du coup, le taux de désabonnement des opérateurs nippons, qui se livrent une guerre sans merci, reste à des niveaux extrêmement bas (moins de 2%), plus de dix fois inférieurs à ceux subis par de nombreux acteurs étrangers du secteur. Selon plusieurs enquêtes, la fidélité des Japonais à leur pourvoyeur de services mobiles s'explique par le fait que la plupart des clients sont satisfaits des prestations.

    Par ailleurs, pour de nombreux clients restés fidèles pendant de longues années au même opérateur (parfois plus de 15 ans), la migration se traduirait par la perte des montagnes de points de fidélité accumulés et des réductions associées, ainsi que par la perte de leur sacro-sainte adresse e-mail mobile liée à leur abonnement. Quant aux rares mécontents qui claquent la porte de leur opérateur, ils n'utilisent pas nécessairement la portabilité car la procédure est payante (2.100 yens, soit 13 euros), et aussi parce qu'ils surestiment la difficulté de l'opération, selon les distributeurs multi-opérateurs.

    Pourtant, dans la pratique, ceux qui franchissent le pas, "sont surpris par la simplicité des modalités d'application", souligne un vendeur chez Bic Caméra. "Les clients qui divorcent de leur opérateur ont souvent été séduits par une offre tarifaire attractive d'un concurrent", précise une étude conduite auprès d'abonnés des trois principaux opérateurs (NTT DoCoMo, KDDI et Softbank) par Brand Sokyu, un institut de recherches sur les marques . "Quitte à voir finalement leur facture augmenter, faute d'avoir saisi la complexité des offres et options", ajoutent toutefois les enquêteurs.

    source : telesatelite

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    Saturday, December 15, 2007

    Gameloft marque l'année 2007 avec le taux de croissance le plus dynamique du marché : + de 51 % sur le troisième trimestre

    Avec une croissance du marché du jeu vidéo sur téléphone portable de plus de 20% par an en moyenne, et un marché estimé à 1,5* milliards d’€ en 2007 et qui devrait se rapprocher des 5* milliards d’euros en 2011, le jeu mobile est devenu un secteur à part entière de l’industrie du jeu vidéo et des loisirs. Gameloft®, développeur et éditeur mondial de jeux vidéo sur téléphones portables, confirme sa position de leader et atteint le taux de croissance le plus élevé du marché avec plus de 51% de croissance sur le troisième trimestre 2007 par rapport à la même période en 2006


    Gameloft : leader de l’industrie du jeu vidéo sur téléphone mobile
    Gameloft intervient sur l’ensemble de la chaîne de valeur du jeu sur mobiles: développement et création des jeux, lancement et acquisition de marques, édition et distribution mondiale des jeux

    - Tous les jeux sont développés en interne. Gameloft a mis en place la première force de développement et de création au monde: près de 3500 employés travaillent dans les studios de développement.
    - Gameloft possède un des meilleurs catalogues de jeux de l’industrie du mobile, en qualité comme en quantité. La note moyenne reçue par les jeux Gameloft en 2004, 2005 et 2006 a constamment été supérieure à 82%. Un catalogue de près de 200 jeux couvrant plus de 1200 modèles de téléphones.
    - Les studios de production sont répartis dans plus de 12 pays différents en Amérique, en Europe et en Asie. Gameloft bénéficie ainsi d’une diversité culturelle inégalée.
    - Gameloft possède le circuit de distribution le plus important de l’industrie du jeu mobile: accords directs avec plus de 180 opérateurs dans plus de 80 pays, accords avec plus de 150 affiliés à travers le monde.

    Source : pockett.net

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    Wednesday, December 12, 2007

    etude sur le marche du contenu mobile contenu pour téléphone portable

    Selon le cabinet d’études Informa Telecoms & Media, le téléchargement de contenu mobile tel que la musique ou la vidéo pourrait représenter une manne de 150 milliards de dollars d’ici 2011. Aujourd’hui, ce marché de niche a généré un chiffre d’affaires de 78 milliards dollars, dont 90% est à attribuer aux services de messagerie texte (SMS / MMS). En 2011, le téléchargement de contenu mobile devrait tripler par rapport à 2006 pour atteindre un quart du marché, soit 38 milliards de dollars. Les revenus issus des messages texte devraient quant à eux culminer à 93 milliards de dollars.

    Parmi les mutations attendues d’ici ces quatre prochaines années, le cabinet d’études s’attend à voir l’émergence de contenus générés par les utilisateurs eux même. Avec l’annonce de versions mobiles de MySpace et YouTube l’an dernier, Informa Telecoms & Media prévoit que le contenu à la demande atteignent les 13.2 milliards de dollars
    source : erenumerique

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    Quand le téléphone portable devient porte-monnaie

    Le 20 novembre dernier, Zurich accueillait la conférence Credit Suisse Thought Leaderhip 2007, organisée par ISP à l’attention de clients importants. L’un des intervenants, C. K. Prahalad, professeur à l’Université du Michigan, nous parle du monde de la microfinance et du potentiel du marché au bas de la pyramide des richesses.


    C. K. Prahalad
    Cornelia Stauffer: Pourquoi mettez-vous l’accent sur le bas de la pyramide des richesses?
    C. K. Prahalad: Il y a quelques années encore, les multinationales s’intéressaient avant tout au milliard de personnes qui occupent le sommet de la pyramide économique. Les 80% restants étaient ignorés. Au travers de mon travail, j’aimerais attirer l’attention sur ces quatre à cinq milliards de personnes qui forment la base de la pyramide et dont la plupart vivent avec moins de deux dollars par jour. Car elles disposent d’un pouvoir d’achat, et offrent de ce fait aux grandes entreprises une belle opportunité de s’engager de manière rentable sur un marché caché.

    Le Credit Suisse s’investit depuis 2003 dans le secteur de la microfinance. Que pensez-vous du micro-crédit, cette technique de financement conçue pour les clients à faible revenu?
    La pauvreté a trois causes: tout d’abord, les plus démunis ne disposent pas du même accès aux informations sur les marchés et les prix que les personnes riches. Le manque de produits de qualité constitue un second facteur. Enfin, les personnes pauvres ne peuvent pas compter sur des crédits appropriés. Ces trois problèmes, il faut les combattre, et la microfinance joue ici un rôle décisif. Les micro-crédits peuvent permettre à des familles d’assurer leur subsistance.


    Que pensez-vous du micro-crédit aux petites et moyennes entreprises (PME) dans les pays émergents et au bas de la pyramide?
    C’est ce qui s’appelle investir dans l’avenir. Dans tous les pays du monde, riches ou pauvres, on trouve un nombre élevé de PME. Mais ont-elles accès à des prestations financières de qualité? Bien souvent, la réponse est non. Il est donc important d’agir, sachant toutefois qu’il est difficile de se procurer des chiffres pertinents sur ces entreprises - des entreprises familiales la plupart du temps - et d’obtenir des sûretés. Les banques doivent donc élaborer dans le domaine de la microfinance de nouvelles méthodes qui leur permettront d’évaluer comme il se doit la moralité de leurs clients et de leur imposer des conditions adaptées. Dans ce contexte, la "pression du groupe" est susceptible d’avoir de meilleurs résultats que les traditionnelles sûretés. En Inde, par exemple, les crédits sont versés à des groupes d’entraide, qui répartissent ensuite les capitaux entre leurs membres.

    Concrètement, que peut faire une grande banque pour renforcer l’accès à une infrastructure financière au bas de la pyramide? Du fait de sa structure de coûts, elle ne pourra pas opérer directement à l’échelle locale. En revanche, les grandes banques peuvent travailler en collaboration avec des banques locales et distribuer leurs micro-crédits avec l’aide de ces partenaires. En tous les cas, il est important de ne pas se lancer dans une optique humanitaire, mais de penser en termes économiques et de voir dans cette entreprise une opportunité à ne pas manquer. On estime que les immigrés issus de pays en développement transfèrent chaque année de 250 à 300 milliards de dollars dans leurs pays d’origine: c’est plus que le montant total de l’aide au développement dans le monde. Ce flux d’argent, qui passe des immigrés travaillant dans les pays industrialisés vers les pauvres dans leur pays d’origine, n’a jusqu’à présent pas été pris en compte par les grandes banques internationales.

    N’y a-t-il pas un gros risque à investir dans des pays en développement?
    Pas du tout. A la banque Grameen, institut de microfinance du Bangladesh, la part de la clientèle qui n’honore pas ses engagements représente moins de 0,5% du total. Les populations pauvres se sentent très redevables à l’égard des banques, car la seule alternative consiste pour elles à se tourner vers des bailleurs de fonds privés, qui pratiquent des taux exorbitants. Les jeunes utilisateurs de cartes de crédit des pays industrialisés représentent un risque de crédit beaucoup plus important. Je pense que les personnes pauvres sont un bien moindre risque.

    Dans quelles régions la microfinance s’est-elle déjà bien implantée?
    Je citerai notamment le Bangladesh, où Muhammad Yunus, fondateur de la banque Grameen, s’est vu attribuer le Prix Nobel pour son travail de pionnier. L’Inde aussi a rapidement développé un système de grande qualité, auquel participent différents groupes d’entraide, des banques locales et de grandes banques ainsi que plusieurs ONG.

    Quels sont les pays qui pourraient causer des difficultés aux banques?
    Proposer des prestations bancaires suppose un cadre législatif. Un pays qui ne dispose pas de lois claires et qui ne parvient de toute façon pas à les faire respecter devra donc être considéré avec méfiance. Il est essentiel également de pouvoir compter sur une société civile bien développée. Sans cela, l’accès aux populations pauvres dans les zones rurales sera compliqué.

    Dans votre livre intitulé "La richesse du tiers-monde" ("The Fortune at the Bottom of the Pyramid"), vous évoquez une situation gagnant-gagnant, qui profite tant aux entreprises internationales qu’aux personnes démunies.
    Dans ce modèle économique, les personnes au bas de la pyramide ont accès au micro-crédit et à des prestations bancaires de qualité. Leurs revenus s’améliorent puisqu’elles ne sont plus obligées de subir les taux usuraires des bailleurs privés. Et il ne faut pas non plus négliger les conseils techniques dont elles peuvent alors bénéficier. Pour leur part, les banques, confrontées à une nouvelle catégorie de clients, doivent se montrer innovantes et développer des solutions techniques modernes et bon marché. Par exemple, en Inde, avant que les banques puissent proposer des prestations à une population rurale majoritairement analphabète, il a fallu mettre au point des appareils biométriques d’identification de la clientèle.

    Pensez-vous qu’il puisse y avoir là le point de départ d’innovations dans les pays industrialisés?
    Tout à fait. Et pour vous en convaincre, je vais prendre un autre exemple: dans la plupart des pays développés, il n’est pas possible à l’heure actuelle d’effectuer une transaction financière par SMS. Pourtant, c’est un système qui existe déjà aux Philippines et qui est désormais testé en Inde. Le "mobile banking" a été développé par des banques en collaboration avec des sociétés de télécommunication et s’adresse à des personnes ne disposant que d’un revenu faible. Aujourd’hui, cette innovation pourrait en appeler d’autres, pour qu’à terme le téléphone portable devienne le véritable porte-monnaie des pays industrialisés.

    Source : emagazine.credit-suisse

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    L'Inde : désormais premier marché de Vodafone


    Profitant d'une conférence de presse londonienne, l'opérateur a dressé le bilan de son activité et comme le rapporte dans son édition du jour le journal économique Les Échos, le cœur de l'activité de l'opérateur s'est déplacé vers les pays de l'Est.

    Mais l'Europe de l'Est n'est pas l'unique cible de Vodafone, qui est également très intéressé par le marché à fort potentiel de l'Inde.

    Début 2007, il a d'ailleurs racheté pour 7,5 milliards d'euros le géant indien de la téléphonie : Hutchinson Essar. Lire à ce sujet notre article sur les ambitions indiennes de Vodafone.

    D'après les études de marché menée par l'opérateur, le marché indien est très prometteur, selon ses estimations le chiffre d'affaires du marché des télécoms (fixe et mobile) de l'Inde va passer de 22,3 milliards en 2006 à 54,1 milliards de dollars d'ici 2011.

    En matière de téléphonie, le marché européen commence à atteindre la saturation, et c'est bien là, la principale raison pour laquelle le Britannique lorgne sur les marchés des pays émergents. Aujourd'hui, le quart du chiffre d'affaires de Vodafone est réalisé dans ces pays.

    Interrogé par Les Échos, le p-dg de Vodafone Arun Sarin a indiqué :"les pays émergents représenteront le tiers de l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) du groupe d'ici à 2012."

    En terme de parts de marché, l'Inde occupe désormais la première place avec 37 millions de clients, juste devant l'Allemagne et ses 33 millions de clients. Et ce chiffre indien ne va pas s'arrêter en si bon chemin puisque le mobile n'est pas encore réellement démocratisé dans le pays.

    Ainsi l'on estime que près de 7 millions d'Indiens adoptent le mobile tous les mois. Aujourd'hui l'Inde compte 213 millions d'utilisateurs de terminaux mobiles, et d'ici 2010 ils devraient être 500 millions pour une population de plus d'un 1 milliard d'habitants.

    Enfin, pour conclure sur l'actualité de Vodafone, l'opérateur vient de remporter la deuxième licence de téléphonie mobile du Qatar devant AT&T et Verizon. Le montant de cette acquisition n'a pas été communiqué, mais il s'agit d'une victoire importante pour le britannique qui compte s'imposer dans cette région.

    Source : Silicon

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    Monday, December 10, 2007

    France-Chine : Pas de " rupture " pour Sarkozy

    Le voyage en Chine du Président Nicolas Sarkozy a convaincu Pékin que ses relations politiques, diplomatiques et industrielles avec la France ne souffriraient pas de la fin de l’ère Chirac.

    Pendant la campagne électorale pour la Présidence française, l’insistance de Nicolas Sarkozy à affirmer sa " rupture " avec le passé, aussi bien en politique intérieure qu’en politique extérieure, avait pourtant laissé penser aux observateurs qu’un rapprochement annoncé avec Washington signifierait un refroidissement des relations stratégiques avec Pékin.

    Valérie Niquet, analyste de l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI) écrivait d’ailleurs dans le journal Les Echos que l’incertitude, voire l'inquiétude, étaient les sentiments qui dominaient chez les diplomates chinois, juste avant l’arrivée du Président Nicolas Sarkozy en Chine le mois dernier. Les intentions de Nicolas Sarkozy de " rééquilibrer " les relations franco-chinoises en promouvant une " politique de réciprocité " avaient fait froncer les sourcils de Pékin.

    Au final, pourtant, alors même que la Chancelière allemande Angela Merkel avait réaffirmé le mois dernier ses intentions de lancer une " nouvelle politique étrangère " fondée sur des droits de l’homme prioritaires aux intérêts commerciaux, la visite de Nicolas Sarkozy a, elle, montré le renforcement du partenariat stratégique franco-chinois et des relations économiques entre les deux pays.




    Même si les discours de Nicolas Sarkozy à Pékin ont été " cadrés " sur le concept de " réciprocité ", et en dépits de ses souhaits de voir la Chine adopter une politique monétaire plus amicale (lire " réévaluation du Yuan "), le nouveau président français s’est placé très clairement du côté chinois quand il en est venu à parler de l’intérêt géostratégique suprême de la Chine : Paris soutient l’unité chinoise et n’est en aucun cas partisan de l’indépendance de Taiwan ou de celle du Tibet.

    Plus encore, au grand déplaisir de Washington et (surtout) de Tokyo, Nicolas Sarkozy a réaffirmé la position chiraquienne sur l’embargo des ventes d’armes européennes à la Chine : Paris souhaite la levée de l’embargo.

    La journaliste économique Françoise Crouignou a bien résumé le problème, écrivant dans les Echos qu’il est difficile de conjuguer " géostratégie " et ambitieuse politique étrangère " de rupture " affirmée par Nicolas Sarkozy. Les entreprises françaises de la défense, de l’aérospatial, de l’énergie et des nouvelles technologies lorgnent depuis longtemps sur des marchés chinois en croissance à deux chiffres et une telle réalité suggérait que Paris modère ses critiques sur les droits de l’homme à Pékin.

    Les observateurs européens n’ont pas manqué de relever que l’accent porté par Nicolas Sarkozy sur la réciprocité n’a pas suscité en retour des promesses du Président Hu Jintao de modeler la politique monétaire chinoise au profit de l’équilibre des relations commerciales entre la Chine et l’Europe. Au contraire, nos sources confirment que le Président Hu Jintao a été très clair : " la politique monétaire de Pékin est faîte pour servir les intérêts de la Chine ".

    S’adressant à la presse après sa rencontre avec Hu Jintao, Nicolas Sarkozy a également insisté sur le fait que le Président chinois avait signé une déclaration commune qui mettait en avant le besoin d’harmonisation entre croissance économique et environnement. Pourtant, aux dernières nouvelles, Pékin reste toujours sceptique sur l’application des accords de Kyoto.

    De retour en France, c’est un Sarkozy triomphant qui a salué ses compatriotes en leur annonçant une série " sans précédent " d’accords économiques avec la Chine, les seuls contrats signés par les géants de l’aéronautique et du nucléaire, Airbus et Areva, étant estimés à environ 20 milliards d’euros.

    Airbus a ainsi signé un " accord général " avec les autorités chinoises, accord selon lequel l’entreprise vendra à la Chine 110 Airbus A320 et 50 Airbus A330 pour un total de 11,3 milliards d’euros (environ 17 milliards de dollars). 10 autres Airbus A330 seront vendus par Airbus à la compagnie China's Southern Airlines.

    L’autre grand gagnant est Areva qui fournira à Pékin deux centrales nucléaires à réacteurs pressurisés de troisième génération (EPR) pour environ 8 milliards d’euros. Les deux réacteurs seront construits à Taishan et l’uranium sera fournit par les mines africaines du canadien Uramin, racheté cet été par Areva.

    Quelques observateurs français ont cependant souligné que les deux centrales nucléaires vendues à Pékin ne permettront pas à Areva de dominer le florissant marché chinois du nucléaire civil. Les offres russes et américaines resteront très compétitives et par conséquent l'accord semble être plus en faveur des finances d’Areva qu’en faveur de l’intérêt du secteur français de l’énergie atomique. Ce qui est certain, c’est qu’un sourire confiant ornait le visage d’Anne Lauvergeon, qui dirige Areva, après la signature de l’accord.

    D’autres acteurs français ont aussi profité du voyage de Nicolas Sarkozy pour renforcer leur présence en Chine.

    Le poids lourd des nouvelles technologies, Alcatel-Lucent, a signé un accord de 750 millions d’euros avec China Mobile Limited pour la fourniture d’équipements de télécommunications. Eurocopter (EADS) a signé un accord pour vendre à Pékin 10 hélicoptères EC155 pour 80 millions d’euros. Natixis, une banque spécialisée dans les services financiers et la gestion d’actifs, a finalisé un accord de coopération en matière d'efficacité énergétique pour limiter les émissions de CO2 pour 60 millions d’euros. Le fabricant de matériel ferroviaire, Alstom , a signé un contrat de 43 millions d’euros pour la signalétique du métro de Shanghai. Le spécialiste du transport maritime, CMA-CGM, a signé des accords, avec la municipalité de Xiamen (province de Fujian) et le groupe hongkongais New World Services Holding, pour la construction et l’exploitation d’un terminal de conteneurs en eaux profondes (307 millions de dollars, environ 206 millions d’euros) qui entrera en exploitation en 2009. CMA CGM aura une part de 30% (environ 62 millions d’euros). Suez, l’autre grand de l’énergie, va développer ses activités dans le gestion de l’eau à Tang-Jiatuo, près de Chingqing, dans le cadre d’un accord de 80 millions d’euros. Sanofi-Avensis, un des plus important groupes pharmaceutiques français, va construire une usine de vaccins anti-grippe, dans le cadre d’un accord de 63,88 millions d’euros.

    La visite de Nicolas Sarkozy à Pékin a non seulement montré que le " boom " des marchés stratégiques chinois est trop important et opportun pour les groupes de la défense, de l’aérospatial, de l’énergie et des nouvelles technologies pour que les idéaux passent devant les intérêts. Elle démontre aussi, sans le moindre doute, que la Chine présente aujourd’hui une des caractéristiques typiques de toutes les grandes puissances dans l’histoire : elle oblige les états à prendre des positions spécifiques envers elle, et cause l’embarras. De facto, les principales puissances politiques de l’Union Européenne ont différentes approches de la Chine : l’Allemagne insiste sur les droits de l’homme tandis que la France est impatiente de poursuivre son partenariat stratégique avec Pékin à un niveau tel que l’enthousiasme de Paris pour les marchés de la défense chinois pourrait réveiller les tensions avec certains de ses partenaires occidentaux.

    Le résultat du voyage du Président français en Chine porte quelques implications ironiques. Jacques Chirac a été probablement, pendant ses années passées à l’Elysée, le plus solide avocat d’un monde multipolaire, et on attendait de Nicolas Sarkozy qu’il limite de telles aspirations en adhérant au leadership mondial des Etats-Unis. Dans le système géopolitique, un pole de puissance est défini par sa capacité à initier et soutenir des actions indépendamment des autres puissances. Il semble clair que la Chine a une telle capacité, et que la multipolarité est en voie de devenir une réalité acceptée – que Nicolas Sarkozy et ses parrains occidentaux le veuille ou non.

    Source : Strategic-raod

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    Des infos sur le blog d'une mission d'un volontaire MEP / mission Etrangère de Paris au Cambodge :
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    Saturday, December 08, 2007

    TV Mobile : Et si les opérateurs devenaient producteurs de contenu ?


    Le conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a laissé jusqu'au 15 janvier aux différents acteurs du monde de la production audiovisuelle pour déposer un dossier de candidature pour disposer de l'un des treize canaux de diffusion de la TMP (télévision mobile personnelle) en France.

    Pourquoi treize alors que seize chaînes sont normalement prévues pour faire leur apparition en version mobile dans le courant de l'année prochaine ? Car trois ont déjà été préemptées par le gouvernement. Et en attendant de connaître la liste complète des acteurs qui veulent obtenir un canal de diffusion pour une offre de TV Mobile basée sur la norme DVB-H, certains d'entre eux pourraient créer la surprise.

    Généralistes ou thématiques, en clair ou cryptées, payantes ou gratuites, ces chaînes pourront être adaptées au format mobile ou des chaînes classiques de la TNT, du câble ou satellite simplement réencodées pour être affichées sur le petit écran d'un téléphone. Pour le moment, Alain Weill, le PDG de NextRadioTV s'est récemment exprimé sur le sujet en voulant déposer plusieurs dossiers pour différentes chaînes mobiles : BFM TV, RMC Sport et une nouvelle chaîne financière.

    Mais ce sont surtout les opérateurs mobiles nationaux qui pourraient créer la surprise en déposant également à leur tour différents dossiers pour créer leur propre chaîne de télévision mobile. C'est du moins ce qu'il en ressort d'une table ronde organisée sur la TV Mobile dans le cadre du sommet Telecoms 2007 et dans lequel des représentants des trois opérateurs mobiles ont été présents.

    Si Bouygues n'a pour le moment visiblement pas d'intentions particulières en matière de création de contenu vidéo, ce n'est visiblement pas le cas d'Orange et de SFR qui s'estiment tous deux « concernés » par l'appel à candidatures du CSA. Orange a d'ailleurs déjà sa propre maison de production de films, « Studio 37 », et déjà lancé sur l'IPTV une chaîne de télévision de sport accessible 24h/24.

    Source : mobinaute

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    Wednesday, December 05, 2007

    Nokia Capital Markets Day 2007 : "L'Internet mobile, je maîtriserai"

    Lors de sa grande réunion avec les investisseurs, Nokia a présenté sa vision du marché de la téléphonie mobile.

    Si les investisseurs veulent prendre le pouls du secteur de la téléphonie mobile, il n'a qu'a se render au Nokia Capital Markets Day 2007 qui a été organisé mardi à Amsterdam.

    Ce rendez-vous annuel permet au fabricant leader mondial de terminaux mobiles de présenter ses perspectives. Le cap n'a pas changé : Olli-Pekka Kallasvuo, president et CEO de Nokia, veut que son groupe devienne le chef de file de l'Internet mobile.

    Dans la vision du groupe télécoms finlandais, le marché des services Internet dans le monde devrait atteindre la barre des 100 milliards d'euros dans le monde en 2010. Mais Nokia n'en oublie pas pour autant son cœur de business : la vente de terminaux mobiles.

    En 2008, il prédit une hausse globale de 10% du volume global de téléphones mobiles en circulation (en sachant qu'il recense 1,1 milliard appareils Nokia pour cette année). Les marchés les plus dynamiques se situeront en Asie-Pacifique, en Chine, au Moyen-Orient et en Afrique (+15%). La croissance sera plus faible pour l'Amérique du Nord, l'Europe et l'Amérique latine (en-dessous de 10%).

    Avec un an d'avance par rapport à ses prévisions initiales, Nokia estime que la barre des quatre milliards d'abonnements mobiles sera atteinte en 2009. Un horizon qui reste dégagé pour le groupe télécoms finlandais.


    source : vnunet


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    Mark O. Horrelt a été nommé nouveau directeur de MAX Entertainment Holdings, Inc.

    Daniel Kilian, président de MAX Entertainment Holdings, Inc. (OTCBB:MXEH) a annoncé aujourd'hui la nomination de Mark O. Horrelt au poste de président et d'administrateur de Max Entertainment Holdings, Inc. M. Kilian quittera ses fonctions d'administrateur et de président.

    M. Horrelt possède une solide formation dans les domaines du droit et de l'entreprise et offre une direction axée sur la qualité, le service et l'innovation.

    Mark O. Horrelt, de nationalité canadienne, est actuellement membre du Conseil d'administration du cabinet d'avocats Anderson & Associate Lawyers, d'Espagne. Dernièrement, il était PDG intérimaire d'une société moyenne de technologie de l'information, chargé d'obtenir la signature d'un accord de fabrication et de jeu en ligne en Chine. Avant cela, M. Horrelt était directeur généralde Knoops & Horrelt International Law à La Haye. Il détient une maîtrise en Droit Public International de l'Université de Leiden où il a travaillé sous la tutelle du Professeur John Dugard de la Commission du Droit International, et est ancien élève de l'Académie de Droit International de La Haye. Il détient aussi un diplôme de Commerce de l'Université St. Mary, au Canada, et a commencé sa carrière comme courtier en marchandises à Toronto avant de passer aux marchés financiers à Londres.

    Il fut ensuite attiré par la sphère des droits de l'Homme et de l'aide humanitaire et a travaillé pendant longtemps comme coordinateur de projet pour Médecins sans Frontières en Somalie et au Soudan, dans des conditions de famine et de guerre civile. Il a aussi tenu le rôle de négociateur en chef chargé de faciliter le secours médical d'urgence dans ces pays. Il a entre autre travaillé comme consultant pour des organisations d'assistance et comme directeur de levée de fonds d'entreprise pour Save the Children. Il est important de noter que M. Horrelt a fait office de conseiller judiciaire dans un procès qui a eu lieu devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda et le Tribunal pénal international pour l'ancienne Yougoslavie.

    À propos de MAX Entertainment Holdings, Inc.

    MAX Entertainment Holdings, Inc. est une société qui comprend diverses filiales des marchés du sport et du divertissement. Max a été fondée en juillet 2006 et opère comme société holding depuis mai 2007 sur le marché hors cote de New York. Forte d'une grande expérience dans le divertissement à son actif, Max fut formée pour capitaliser sur l'immense potentiel de l'Internet et des technologies connexes telles que téléphonie mobile, VOIP, communautés en ligne, télévision et radio.

    En associant ce potentiel à ses deux activités principales, les arts martiaux mélangés (MMA), un des marchés sportifs qui connaît la croissance la plus rapide au monde, et Europlay, une nouvelle plateforme de jeu stimulante pour la téléphonie mobile qui propose des jeux uniques, modernes et innovateurs à faible enjeu sur téléphone mobile et sur Internet, Max réalisera des revenus substantiels.

    Le MMA s'est très vite déclaré comme un des sports les plus rentables du monde et à la croissance la plus rapide. C'est un sport de combat qui implique une grande variété de techniques de combat, et qui, de nos jours, fait partie du divertissement moderne et est un des meilleurs spectacles sportifs télévisés. Aux États-Unis, il fait partie de l'Ultimate Fighting Competition (UFC) dont la popularité est montée en flèche et qui est considérée comme un événement aussi important que la boxe. L'Europe n'a jamais eu d'équivalent jusqu'ici. Pour transposer ce succès à l'Europe, Max compte sur des structures préexistantes et sur l'utilisation de l'énorme potentiel qu'a la marque Max pour plaire à un large échantillon de la population.

    Le marché des arts martiaux mélangés (MMA) et des combattants de Max est énorme, particulièrement lorsqu'il est combiné avec la télévision, les événements en direct, le marchandising et les entreprises en ligne, qui sont des composants cruciaux de la vision à long terme pour Max Entertainment, et qui permettront aux investisseurs de réaliser de hauts retours sur investissement. MAX, qui a déjà suscité un intérêt marqué et a créé un créneau du marché en Europe, est prêt à s'étendre.

    Sa seconde activité principale est Europlay, une plateforme de jeu sous pleine licence à jouer sur téléphone mobile, au potentiel mondial, pour laquelle Max Entertainment a récemment signé un contrat d'acquisition de participation majoritaire. Vu le taux extrêmement élevé de pénétration du mobile dans le monde, celui-ci est devenu le moyen clé de communication entre les personnes. Le nombre total d'abonnés au téléphone mobile dans le monde est estimé à 2,15 milliards ! Actuellement, le service le plus utilisé est le texto comptant 1,8 milliards d'utilisateurs et ayant engendré 1,8 milliards de dollars américains de revenus en 2006. Les profits potentiels tirés des jeux à faible enjeu sur téléphones mobiles sont très substantiels.

    Pour en savoir plus, contactez : Mark O. Horrelt

    Bureau MAX à New York, Téléphone: (+1) 212-231-8406

    www.max-holdings.com, www.maxfighters.com

    autres :

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    marketing mobile et business development

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