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Saturday, December 30, 2006

La Chine assurera un lancement stable de son projet 3G en 2007

Les régulateurs des télécommunications de Chine prendront des mesures vigoureuses pour assurer un lancement stable du projet 3G en 2007.

Wang Xudong, ministre de l'Industrie de l'Information, a fait cette remarque lors d'une récente télé-conférence sur l'industrie de l'information du pays.

La 3G réfère à la troisième génération de technologies de communication mobile. Selon les experts, les téléphones 3G ne sont pas seulement un outil de communication mais peuvent aussi fournir des services multimédias. La Chine s'est engagée à fournir des services 3G avant les Jeux olympiques 2008 à Beijing.

Les conditions sont mûres pour le développement de 3G en Chine après des années de recherches et d'essais, a fait remarquer Wang.

Les experts sont convaincus que le ministère profitera de cette opportunité pour optimiser la structure de concurrence des opérateurs.

Wang a prévu une valeur de services de télécommunication sur la partie continentale de la Chine de 1 870 milliards de yuans (240 milliards de dollars) en 2007, en hausse de 23%.

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Friday, December 29, 2006

2006, année de l'Inde, par Frédéric Lemaître

A bien des égards, 2006 a été l'année de l'Inde. Dès janvier, le forum de Davos annonçait la couleur. La station helvétique, dans laquelle se réunit chaque année le gotha économique et politique mondial, semblait s'être délocalisée dans les contreforts de l'Himalaya. Hommes d'affaires et ministres indiens, d'habitude invités, paraissaient en être les hôtes. Avec l'appui de stars de Bollywood, ils se sont livrés cette année à un numéro de charme sans précédent. Leur slogan (imaginé par le patronat indien) : "India everywhere". Comme pour illustrer celui-ci, le milliardaire indien basé à Londres Lakshmi Mittal lançait une OPA hostile sur le sidérurgiste Arcelor.

Géant économique (en parité de pouvoir d'achat, l'Inde serait la 4e puissance mondiale), ce pays devient un géant politique. George Bush l'a reconnu en mars, en apportant le soutien des Etats-Unis au programme nucléaire indien, bien que ce pays n'ait jamais ratifié le traité de non-prolifération. Par ce geste controversé, Washington entendait contrebalancer la toute-puissance chinoise en Asie. Les Chinois, qui savent ce que rapport de force veut dire, ne s'y sont pas trompés. En novembre, le président Hu Jintao s'est à son tour rendu à Delhi, afin de nouer de meilleures relations avec son puissant voisin. Si la visite n'a débouché sur aucun résultat spectaculaire, nombre de diplomates y voient le début d'une relation bilatérale qui ne peut que s'intensifier. Pour le meilleur ou pour le pire, "Chindia" est en marche.

Dix ans après avoir découvert la Chine, l'Occident prend conscience du décollage de l'Inde. Avec son milliard d'habitants et une croissance annuelle de plus de 8 %, la plus grande démocratie du monde fascine et a les moyens d'influer sur le destin de la planète.

C'est déjà le cas. Ayant misé sur les services plutôt que sur l'industrie, l'Inde bouleverse déjà l'informatique mondiale, en accaparant environ 50 % de la sous-traitance de ce secteur, notamment les centres d'appel. D'IBM à Capgemini, les grands noms de la profession ne jurent plus que par l'Inde. Le PDG du groupe indien Infosys aime à rappeler qu'il lui a fallu vingt-trois ans pour réaliser son premier milliard de dollars de chiffre d'affaires, et vingt-trois mois pour réaliser le deuxième. La maîtrise des technologies les plus pointues par les Indiens les amène à proposer leurs services dans un domaine où on ne les attendait pas : la santé. Une trentaine d'hôpitaux privés haut de gamme ont accueilli en 2005 environ 150 000 "touristes", venus se faire opérer pour des prix de 5 à 10 fois inférieurs à ceux pratiqués aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne ou au Canada. Selon certaines études, le tourisme médical rapportera dans cinq ans 2 à 3 milliards de dollars, soit la moitié de ce que procure aujourd'hui la sous-traitance informatique.

Aussi impressionnants soient-ils, ces succès ne doivent pourtant pas occulter l'essentiel. L'Inde reste un pays émergent, très en retard, notamment par rapport à la Chine. Fin novembre, Sonia Gandhi, présidente du Parti du Congrès au pouvoir l'avait reconnu. Mi-décembre, devant des économistes, le premier ministre lui-même, Manmohan Singh, a été on ne peut plus explicite : "Nous ne devons pas être trop contents de nous. Il serait faux de croire, comme certains le font, que les grands défis du développement ont été relevés et que l'économie indienne peut maintenant devenir sans effort celle d'un pays développé."

Les chiffres, en effet, sont sans appel. Le PIB par habitant n'est que de 720 dollars (1 740 en Chine). Si l'on prend l'indice de développement humain mis en place par les Nations unies, l'Inde ne se classe qu'au 126e rang sur 186 pays, loin derrière la Chine (81e rang). Les informaticiens de Bangalore et les artistes de Bombay ne doivent pas faire illusion : évaluée parfois à 300 millions d'habitants par des membres du gouvernement, la classe moyenne serait, selon d'autres sources, beaucoup plus réduite. "33 millions d'Indiens sont motorisés (voiture et moto confondues). (...) N'allez pas de parler de grande classe moyenne : on a affaire à 50 millions de personnes au maximum, si l'on se fonde sur le nombre de foyers imposables", expliquait récemment le sociologue Dipankar Gupta (Le Monde 2 du 16 décembre). Il n'y a que 91 millions d'abonnés à un service de téléphonie mobile (8 % de la population) et moins de 7 millions d'abonnés à Internet, rappellent les membres de la mission économique de l'ambassade de France à Delhi.

PAYS ENCORE SOUS-DÉVELOPPÉ

L'Inde est surtout un pays de paysans pauvres. L'agriculture représente moins de 20 % du PIB, mais occupe les deux tiers de la population active. Faute d'infrastructures, 20 % seulement de la production agricole est transformée. Une bonne partie pourrit sur place. Conséquence : 400 millions de personnes vivent avec moins de 1 dollar par jour et près de 50 % des enfants seraient sous-alimentés.

La croissance est d'autant plus inégalitaire qu'elle repose - ce qui est un paradoxe pour un pays pauvre - sur des services à valeur ajoutée qui emploient relativement peu de monde. L'Etat est trop faible, les impôts quasi inexistants (85 % de la population travaille dans le secteur informel), et donc toute redistribution impossible. Si des Occidentaux commencent à se faire soigner en Inde, les dépenses publiques de santé restent très insuffisantes. Inférieures même (en pourcentage du PIB) à ce que dépensent la Sierra Leone et le Niger, les deux derniers du classement du programme des Nations unies pour le développement (PNUD). 1,5 million de personnes meurent encore chaque année en Inde de la tuberculose et 4 millions de maladies facilement soignables comme la diarrhée. Même constat pour l'éducation : les ingénieurs ne constituent qu'une infime minorité de la population : comme l'Inde ne dépense que 3,3 % de son PIB pour l'éducation publique (8 % en Chine), 35 % de la population est analphabète.

Autre problème, les infrastructures : les pénuries d'électricité sont fréquentes, les routes déjà saturées (alors qu'il y a très peu de voitures) et le chemin de fer extrêmement lent et vétuste. Là aussi, la comparaison avec la Chine est cruelle pour l'Inde. Ses dirigeants indiquent, non sans raison, que leur système démocratique explique en partie la lenteur de la prise de décision. Le fédéralisme qui oblige les différents partis à cohabiter n'arrange pas la situation.

Que l'Inde devient un acteur majeur sur la scène internationale est évident. Néanmoins, par bien des côtés, elle reste un pays sous-développé. Comme l'a dit le PDG d'Infosys à l'issue du forum de Davos : "Il ne nous reste plus qu'à réaliser les promesses que nous avons faites."

source : le monde.fr

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Thursday, December 28, 2006

Maroc Telecom prend le contrôle d’Onatel

Maroc Telecom a acquis 51% du capital de l’opérateur burkinabé des télécoms, Onatel. La filiale de Vivendi s’ouvre par la même occasion sur le marché de l’Union monétaire ouest-africaine. Maroc Telecom a été retenu pour former un partenariat stratégique avec Onatel (Office national des télécommunications) opérateur burkinabé de téléphonie. Une convention sera signée à cet effet en fin de semaine entre le management de l’opérateur marocain conduit par Abdeslam Ahizoune et l’Etat burkinabé. La filiale de Vivendi reproduit à quelques différences près le schéma en vigueur en Mauritanie depuis 2001 (date de la prise de contrôle de 54% du capital de Mauritel), en prenant 51% du capital de la société burkinabée. Onatel qui fait fonction d’office est leader dans plusieurs domaines de la téléphonie mobile et fixe au pays de Blaise Compaoré. Le partenariat stratégique répond à la volonté des autorités burkinabées de hisser le secteur des télécoms du pays aux normes internationales. Les 49% restants seront répartis entre l’Etat burkinabé (23%), le personnel de l’Onatel (6%) et les personnes physiques et morales du secteur des télécoms (20%). L’analyse des offres financières et techniques s’est faite à plusieurs niveaux. Le 14 décembre dernier, le Conseil des ministres burkinabés, après délibération, a donné des instructions au ministre en charge du dossier de poursuivre les négociations conformément aux conclusions de la Commission de privatisation dans l’ordre des qualifications retenues. Dans la course pour la reprise d’Onatel, il y avait plusieurs investisseurs prestigieux. Entre autres, Detecon (Allemagne), Essat Teleholding (Inde), France Telecom (France), Monaco Telecom (Monaco), Saudi Telecom (Arabie Saoudite) et Sistema/MTS (Russie). De tous ces opérateurs dont les dossiers ont été retenus début mai, il n’en restera que quelques uns (avec Maroc Telecom) lors de la présélection du mois de septembre. La réussite de cette opération de privatisation fait suite à une première tentative qui n’a pas eu l’écho escompté. Courant 2004, les investisseurs internationaux ont boudé la première offre qui ne prévoyait pas d’ouvrir le capital de l’opérateur du Burkina Faso au-delà de 34%, soit à 1 point en dessous de la minorité de blocage. Le cahier des charges incombant au repreneur à certains investissements a été aussi allégé. Le schéma de la privatisation ambitionne de renforcer la qualité des services, de satisfaire les besoins de financement des investissements et de répondre à la demande des clients. Avec Onatel, Maroc Telecom qui a mis en place récemment en France la plate-forme Mobisud, montre ses ambitions pour l’Afrique occidentale, un marché qui regorge d’un potentiel de développement important. Le Burkina Faso fait figure de meilleur élève de la région aux yeux du FMI. Ces derniers mois, les milieux d’affaires marocains et burkinabés ont conclu plusieurs conventions à travers des missions et séminaires dans les deux sens.

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Saturday, December 23, 2006

le mobile au japon et en Inde

NTT DoCoMo a lancé une expérimentation grandeur nature de services haut débit mobile basée sur la technologie NGN (Next Generation Networking). Il s'agit d'un test d'une durée d'un an avec une vingtaine de partenaires. On retrouve des sociétés de haute technologie (NEC, Sony, Hitachi, Matsushita) et des éditeurs de contenus (Nifty, Sonet, NHK, Asahi Net, Bandai Channel). La firme japonaise a l'ambition de relier d'ici 2010 plus de 30 millions de personnes (sur les 47 millions de clients actuels) sur ce nouveau protocole. Hutchinson Essar (Hutch), l'un des principaux opérateurs indiens, vient de signer un accord avec NTT DoCoMo pour lancer le service i-mode en 2007. Les abonnés pourront donc découvrir l'email mobile, les jeux, des infos pratiques et plein d'autres contenus comme plus de 53 millions de personnes dans le Monde.A noter que l'Inde vient de franchir la barre symbolique des 100 millions d'utilisateurs d'un téléphone mobile. C'estla troisième pays après la Chine (450 millions) et la Russie (150 millions). Il s'agit d'un marché émergent où il y a des parts de marché à prendre, puisqu'il ya eu 5 millions de nouveaux utilisateurs en novembre, rien que ça !
source : giiks.com

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Friday, December 22, 2006

Vodafone se prépare à investir des milliards en Inde

Le géant britannique, qui se retire de Suisse, privilégie les pays du Sud.

LA CROISSANCE n'est plus en ­Europe. Vodafone, le géant britannique du mobile qui lutte depuis plusieurs mois pour regagner la confiance des investisseurs et de ses actionnaires, en tire les conséquences. Il se retire de Suisse. Il vient de céder pour 2,7 milliards d'euros les 25 % qu'il détenait dans la société suisse Swisscom Mobile à Swisscom, l'ex-monopole helvétique. Il s'est également retiré quelques mois plus tôt du belge Proximus.

500 millions d'abonnés

Vodafone préfère mobiliser ses ressources pour s'emparer de l'opérateur indien de portable Hutchison Essar, une filiale du conglomérat Hutchison Whampoa dont la valeur est estimée à 14 milliards de dollars. Selon deux journaux indiens, le groupe dirigé par Arun Sarin négocie le rachat des 52 % détenus par Hutchison Whampoa bien qu'il soit déjà implanté dans ce pays grâce à une participation de 10 % dans l'opérateur Bharti Airtel. Mais il n'est pas le seul sur les rangs. L'indien Reliance, le malaisien Maxis Communications et l'égyptien Orascom sont également intéressés.

Tous sont attirés par le marché indien en forte expansion. 136 millions d'Indiens sur 1,1 milliard d'habitants possèdent un portable. Leur nombre s'accroît de 6,6 millions par mois. Selon les experts, la croissance en nouveaux abonnés est supérieure à celle de la Chine. Hutchison Essar revendique 27 millions de clients et la place de numéro trois sur le marché. Le gouvernement a de fortes ambitions. Il veut atteindre les 500 millions d'abonnés en 2010.

Après avoir tout misé avec plus ou moins de succès sur les États-Unis, l'Europe et le Japon dont il s'est retiré en cédant son activité de téléphone fixe en septembre 2003, Vodafone multiplie les initiatives dans les pays du Sud et en Europe de l'Est. Il bénéficie également de la montée en puissance de Vodacom, une société commune dont il est actionnaire aux côtés du sud-africain Telkom.

Vodacom est notamment décidé à avancer ses pions en Algérie, au Ghana, au Nigeria et en Angola. Car l'Inde n'est pas la seule région du monde qui suscite les convoitises. L'Afrique et le Moyen-Orient sont devenus des champs d'affrontements entre les opérateurs des pays industrialisés et des nouveaux venus. Une nouvelle génération d'acteurs est apparue avec Vodacom, le sud-africain MTN, le koweïtien MTC, Etisalat basé dans les Émirats arabes unis et l'égyptien Orascom. Ce dernier, fondé par le milliardaire égyptien Naguib Sawiris, s'est même emparé en mai 2005 de l'italien Wind pour plus de 12 milliards d'euros en s'associant avec d'autres investisseurs. Ces groupes du Sud n'hésitent pas à jouer dans la cour des grands. MTC a déboursé 3,4 milliards de dollars en 2005 pour mettre la main sur Celtel qui est présent en Afrique de l'Est.

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Wednesday, December 20, 2006

CCTV lance le service de télévision sur mobile

CCTV, la télévision centrale de Chine, a lancé officiellement un service de télévision sur mobile en collaboration avec China Mobile et China Unicom, les deux principaux opérateurs de téléphonie mobile du pays.


China Unicom et CCTV ont déclaré qu’ils travailleront ensemble sur le nouveau média sans fil, y compris la télévision sur mobile, et qu’ils formeront un partenariat stratégique pour la couverture et la diffusion des Jeux Olympiques de 2008. Selon cet accord, China Unicom sera responsable en fournissant tous les équipements réseaux nécessaires, la plateforme de services, les services aux abonnés, les canaux marketing et le support technique. CCTV sera chargée de la création, de la gestion et de la validation des contenus.
Avec ce nouveau service de télévision sur mobile proposé par CCTV, les utilisateurs seront capables de regarder des matchs en direct sur leurs mobiles, soit par des services à la demande, soit par téléchargement.




Le rôle précis de China Mobile dans cette association n’a pas été encore annoncé.

Offre en vue sur le troisième opérateur mobile d'Inde

Le groupe indien de télécommunications Reliance associé au fonds Blackstone, le malaisien Maxis et l'égyptien Orascom auraient chacun lancé une offre sur l'opérateur indien de téléphonie mobile Hutchison Essar, filiale du groupe de Hong Kong Hutchison. Une opération à 14 milliards de dollars soit 10,6 milliards d'euros.
Selon le journal indien Press Trust of India, le groupe indien de télécommunications Reliance, le malaisien Maxis et l'égyptien Orascom bataillent pour prendre le contrôle de l'opérateur indien de téléphonie mobile Hutchison Essar, filiale du groupe de Hong Kong Hutchison, valorisée à 14 milliards de dollars, soit 10,6 milliards d'euros. Le fonds d'investissement Blackstone se serait associé pour l'occasion avec Reliance, rapporte pour sa part le Wall Street Journal.

Hutchison Essar, troisième opérateur mobile d'Inde, a doit tenir vendredi une conférence de presse pour discuter d'"une alliance stratégique". Les informations sur un rachat d'Hutchison Essar se multiplient depuis quelques jours. La branche télécommunications du conglomérat et premier groupe privé indien Reliance était déjà citée cette semaine comme possible repreneur, en association avec des fonds d'investissements américains.

Les banques conseils de l'opération seraient ABN Amro, Standard Chartered et Citibank. L'opérateur Hutchison Essar est détenu à 33% par la famille indienne Ruia, propriétaire du conglomérat Essar. Hutchison Whampoa en contrôle 52%, et le reste du capital est entre les mains d'actionnaires individuels. Hutchison Whampoa est contrôlé par l'une des plus grandes fortunes d'Asie, M. Li Ka-shing.

A l'inverse, Sunil Bharti Mittal, président d'un autre opérateur de téléphonie mobile en Inde, Bharti Airtel, a indiqué que son groupe n'était pas dans la course pour le rachat d'Hutchison Essar, selon le quotidien Business Standard.
Selon le journal, Sunil Barthi Mittal a déclaré: "Seule la famille Ruia peut décider, en tant que partenaire indien, qui pourra prendre une part dans Hutchison Essar. Pour le moment, ils ne nous ont pas approchés et nous non plus".

Le marché de la téléphonie mobile est en pleine expansion en Inde. Le régulateur indien du marché, le TRAI (Telecom Regulatory Authority of India) a indiqué jeudi que le nombre d'utilisateurs de téléphones mobiles dans le pays qui compte plus d'un milliard d'habitants a atteint 143,02 millions à fin novembre, portés par les bons scores commerciaux des grands opérateurs du pays comme Bharti Airtel et Reliance. Parallèlement, le nombre de détenteurs d'une ligne de téléphonie fixe s'est réduit de 50.000 à 40,51 millions.

Tuesday, December 19, 2006

L’Inde goûte à l’i-mode

Le japonais NTT DoCoMo annonce le lancement de l’i-mode en Inde. Le signataire de ce partenariat est l’opérateur indien Hutchison Essar (Hutch) qui proposera l’internet mobile à ses abonnés courant 2007. Le service sera disponible sur les réseaux GSM, GPRS et 3G. Pour Asim Ghosh, responsable chez Hutchison Essar, « l’i-mode est une étape naturelle pour nous. Chez Hutch, nous croyons que c’est la bonne voie pour bénéficier de l’Internet mobile ». A ce jour, plus de 53 millions d’abonnés répartis dans 16 pays utilisent l’i-mode. Les prochains élus seront Hong Kong, Macao et les Philippines.

Les Chinois découvrent la TV sur mobile

Les opérateurs de téléphonie mobile chinois China Mobile et China Unicom ont signé un partenariat avec la CCTV, télévision d'état pour proposer la télévison sur mobile à leurs abonnés. Selon Xi Guohua, vice-ministre de l'Information, ce partenariat devrait jouer un rôle actif dans le développement des services et des contenus. Pour les prochains Asia Games (épreuves sportives) se déroulant à Doha au Qatar, China Mobile et China Unicom diffuseront gratuitement les épreuves sur les mobiles de leurs abonnés à titre d'essai

La folie des SMS

Les SMS ou textos sont devenus le moyen de communication préféré des jeunes au grand bonheur des opérateurs mais au grand dam des défenseurs de la langue française. Le cabinet d’études Gartner, qui s’est penché sur ce phénomène, a estimé que plus de 2000 milliards de SMS seront envoyés dans le monde en 2010, principalement en Asie. En terme de recette, cela rapportera 72,5 milliards de dollars contre 39,5 milliards de dollars pour l’année 2005 où 936 milliards de SMS avaient été envoyés. Sur la répartition géographique, on attend l’Asie avec 1800 milliards de SMS échangés contre 213 milliards pour l’Europe et 318 milliards pour l’Amérique du Nord

Monday, December 18, 2006

Europe : l'UWB disponible dans 6 mois

Le Radio Spectrum Committee a validé début décembre le protocole radio à courte distance Ultra Wide Band : ses premières utilisations sont attendues d'ici 6 mois en Europe. Cependant, la France et certains pays scandinaves ont fait part de leurs réserves quant à la possibilité d'apparition d'interférences, vu la largeur de spectre utilisé par les circuits d'émission.

Source : ZDNet

Pays émergeants : le Wimax se heurtera aux réseau déjà en place

Le cabinet Analysis estime que le battage médiatique autour du Wimax comme solution pour assurer la couverture radio dans les pays émergents est un peu sur-vendue : ils vont entrer en concurrence avec les réseaux cellulaires déjà en place, et ceux-ci seront sans doute préférés par les populations locales en raison du faible coût des terminaux.
Source : VNUnet

Wednesday, December 13, 2006

Le premier marché mondial du mobile

En volume, la Chine est le premier marché mondial du mobile avec 430 millions d'abonnés attendus pour 2006, dont 17 millions pour la 3G, selon la société d'étude chinoise Norson. En 2010, ces chiffres devraient monter à 608 millions d'abonnés, dont 126 sur la 3G, secteur qui afficherait donc la plus forte croissance. À titre de comparaison, le marché européen devrait atteindre 394 millions d'abonnés en 2006 d'après l'Idate.

Infineon cherche des clients dans le téléphone portable en Chine


TAIPEH (Reuters) - Infineon discute avec plusieurs clients en Chine afin de trouver des débouchés pour ses semi-conducteurs pour téléphones portables, a déclaré un dirigeant du groupe allemand basé à Taiwan.

"La Chine est comme un aimant, il y a un gros potentiel ici", a déclaré Deyoung Chan, directeur de la plate-forme mobile d'Infineon en Chine et à Taiwan.

Infineon rivalise notamment avec Texas Instruments, leader mondial des puces pour portables, et cherche comme lui à pénétrer sur le marché chinois à forte croissance des téléphones portables bon marché.

"Les téléphones portables à moins de 1.000 renminbi (128 dollars) sont un marché de masse", a commenté Chan.

Infineon compte déjà parmi ses clients Ningbo Bird, qui est le premier fabricant chinois de téléphones portables.

Ces commentaires interviennent alors que le groupe allemand vient de publier des résultats inférieurs aux attentes pour le trimestre de juillet à septembre en raison du dépôt de bilan de son client BenQ Mobile.

Infineon a cependant remporté de nouveaux contrats récemment auprès de Samsung Electronics et LG Electronics.

Le président du directoire Wolfgang Ziebart a promis qu'Infineon "laisserait derrière elle en 2007 la phase de perte opérationnelle" et visait une croissance annuelle d'au moins 10% et une marge de résultat d'exploitation avant intérêt et impôt (Ebit) d'au moins 10% avant 2010.

Outre les téléphones portables, Infineon fabrique des semi-conducteurs utilisés dans l'automobile, les cartes de sécurité et les produits haut débit

La téléphonie mobile en Chine

Le succès du SMS et des services à valeur ajoutée : en moyenne 2,1 SMS par jour et par utilisateur en 2005 Le WAP (Wireless Application Protocol) a connu un démarrage relativement difficile en Chine.

La fonction WAP est désormais disponible sur un grand nombre de combinés, les services les plus sollicités sont ceux ayant trait aux informations générales, informations boursières ainsi que les jeux.Les utilisateurs réclament plus de services à valeur ajoutée tels que vidéos, images, chat… Les opérateurs, portails et fournisseurs de services et de contenus portent leurs efforts sur ce type de services à valeur ajoutée.Le marché chinois des services mobiles à valeur ajoutée est très concurrentiel, des opérations de rapprochements, fusions et la disparition de certaines sociétés sont à noter. A côté de quelques grands acteurs (Sina, Tom Online, Tencent, Sohu, NetEase,…), de nombreux fournisseurs proposent également leurs services à l’image de KongZhong (jeux sur mobile), Hurray (distribution de programmes musicaux) ou encore Linktone (téléchargement de sonneries)… KongZhong, l’un des leader du marché chinois du jeu sur mobile poursuit sa croissance sur ce segment de marché avec notamment l’acquisition en juillet dernier de Tianjin Mammoth, un développeur de jeux sur mobiles pour diverses plates-formes (Kjava, BREW, Symbian…). A noter également le développement rapide des services de programmes télévisés sur mobiles. Dragon Mobile, filiale du groupe de media shanghaien SMG, propose ainsi depuis juin 2005, en partenariat avec China Mobile des services TV sur mobile. Une vingtaine de programmes sont disponibles (dont des services de vidéos à la demande).

Données au 1er semestre 2005 : China Mobile (Hong Kong) Ltd SMS: 115 milliards de messages échangés. Color Ring Tone: 57,92 millions d’abonnés. WAP: 17,16 millions d’abonnés.
China Unicom (Hong Kong) Ltd SMS: 25,32 milliards de messages échangés. Color Ring Tone: 11,29 millions d’abonnés. Services CDMA1X: 12,16 millions d’abonnés.

La téléphonie mobile en Chine

Des besoins essentiellement en contenu et en services

Il existe en Chine de nombreux fournisseurs de services mobiles à valeur ajoutée. Les deux opérateurs mobiles ont mis en place des plates-formes destinées à servir d’interfaces entre les utilisateurs et les fournisseurs de services : Monternet pour China Mobile et Uni pour China Unicom. A partir de 2002, les portails Internet ont diversifié leur offre sur le segment services mobiles data à destination des internautes suivant ainsi le mouvement impulsé par les opérateurs mobiles. Les principaux portails chinois tels que Netease, Sohu ou Sina se sont rapidement intéressés à ce marché générateur de nouvelles sources de revenus.Les plates-formes traditionnelles de services des opérateurs sont peu à peu concurrencées par des portails WAP mis en place par des portails Internet traditionnels.

Le schéma de répartition des recettes mis en place par les opérateurs est très attractif pour les fournisseurs de services, ce mode de répartition libère l’opérateur de la création de contenu et incite le fournisseur de service à redoubler de créativité afin d’être intégré au sein des plates-formes de services mobiles des opérateurs (Monternet, Uni-Info). Compte-tenu de la vive concurrence rencontrée au sein de ce secteur, des abus se produisent notamment en matière de messages électroniques non-sollicités (spamming).Les fournisseurs de service impliqués dans ces opérations sont rapidement sanctionnés par les opérateurs.

On distingue deux grandes catégories de sites Internet de services mobiles : Des portails gérés par les opérateurs mobiles (ex :Monternet pour China Mobile),l’utilisateur doit payer le service et les coûts de téléchargement. Des portails WAP gérés par des portails Internet généralistes (ex : Sohu) où seuls les téléchargement sont payants.


Les services SMS, MMS,sonneries (CRBT), IVR constituent les principales sources de revenus de l’industrie des services mobiles à valeur ajoutée.Les jeux sur téléphones mobiles en Chine : un marché de 118,75 millions USD en 2005 soit une progression de 18 % en glissement annuel. (Source : iResearch).La PME française In Fusio propose ses solutions de jeux sur mobiles en Chine auprès de fabricants de combinés mobiles et de l’opérateur China Mobile.

La téléphonie mobile en Chine

Des tests 3G en cours, incertitudes sur la date d’octroi de licence(s)

La Chine développe son propre standard 3G, le TD-SCDMA, qui devrait avoir sa place avec d’autres standards sur le marché chinois, à savoir très probablement le WCDMA et le CDMA2000. Les opérateurs chinois devraient être les grands bénéficiaires de l’attribution des licences 3G et l'entrée des opérateurs étrangers ne pourra sans doute être possible que via des prises de participation dans ceux-ci.Tous les grands équipementiers présents en Chine (Alcatel Shanghai Bell, Ericsson, Nokia, Motorola, Siemens, ZTE, Huawei…) proposent diverses solutions (infrastructures et combinés pour certains) et participent au déploiement des réseaux tests pré-commerciaux .La délivrance des licences 3G prévue mi-2006 devrait lancer une vague de nouveaux investissements pour le déploiement de réseaux. Plusieurs villes conduisent actuellement des tests pré commerciaux sur trois standards : le standard national TD-SCDMA, le W-CDMA et le CDMA2000. L’éventuelle restructuration des opérateurs de télécommunications chinois est régulièrement annoncée et démentie. A l’heure actuelle, le MII n’a pas effectué de communiqué officiel sur la date possible d’octroi de licence(s) 3G ni sur le ou le(s) standard(s) retenu(s) et les opérateurs concernés. Les services 3G devront être disponibles en 2008 (en vue notamment des J.O. de Beijing). Les services 3G permettront aux opérateurs de proposer des services haut débit, des services d’Internet mobile, des conférences téléphoniques vidéo, TV sur mobile...

Aucune information officielle sur un calendrier pour l’attribution des licences 3G. Plusieurs déclarations et articles de presse publiés en janvier 2006 font état d’une possible annonce d’octroi de licences au cours du 1er semestre 2006.Plusieurs centres de R&D et centres d’expérimentations ont vu le jour dans le cadre du développement de nouveaux services pour des réseaux 3G (Beijing, Shanghai, Shenzhen,Nanjing, Hangzhou, Chengdu…).

La téléphonie mobile en Chine

Au cours des dernières années, le secteur chinois de la téléphonie mobile a connu un développement plus rapide que celui de la téléphonie fixe. Après avoir dépassé le Japon en 2000, puis les Etats-Unis en 2001, la croissance du nombre d’utilisateurs de services de téléphonie mobile s’est poursuivie pour faire du marché chinois de la téléphonie mobile le premier mondial en termes d’abonnés. Avec un nombre d’utilisateurs « mobiles », en augmentation de 5 millions par mois en moyenne, la Chine comptait 393,431 millions d’utilisateurs fin 2005 (sources : MII), le nombre d’abonnés aux services de téléphonie fixe s’élevait quant à lui à 350,43 millions.La Chine est également la première base de production mondiale de téléphones mobiles, elle compte plus d’une trentaine de fabricants pour 230 millions de combinés produits fin 2004 et 268 millions produits au cours des 11 premiers mois de 2005. Le marché chinois est donc devenu un enjeu stratégique majeur pour les acteurs étrangers de la téléphonie mobile, qu'ils soient industriels, fournisseurs de solutions ou opérateurs.Deux opérateurs chinois sur un marché à dominante GSM : China Mobile et China Unicom Le secteur de la téléphonie mobile chinois est organisé autour d’un duopole d’opérateurs placé sous l’autorité du Ministère de l’Industrie de l’Information (MII) qui a un rôle de macro-régulateur : China Mobile (détient près de 66% de part de marché) et China Unicom possèdent une filiale par province ou par municipalité autonome bénéficiant d’une certaine autonomie sur le plan commercial.

China Mobile ( 246,6 millions d’abonnés en 2005 et 66 % de part de marché.) Créée en avril 2000 à la suite de la scission des activités de téléphonie fixe et mobile de China Telecom. Cette naissance a fait suite à la décision du gouvernement d’encourager la concurrence dans le secteur par l’introduction de nouveaux opérateurs brisant ainsi la situation de monopole de China Telecom. China Mobile est le premier opérateur mobile au monde en terme de réseau et de nombre d’utilisateurs.




China Unicom (95,072 millions d’abonnés GSM et 32,72 millionsd’abonnés CDMA en 2005.) Créée en 1994 dans le but de briser le monopole de l’opérateur historique,China Telecom, China Unicom est l’unique opérateur chinois à posséder à la fois une licence fixe et mobile (GSM et CDMA). China Unicom continue de miser sur le développement de son offre CDMA.


Quelques Chiffres : Record mondial d’abonnés avec 393,43 millions d’utilisateurs de mobiles en 2005 (source : MII). 350,43 millions d’utilisateurs deservices de téléphonie fixe en2005 (source : MII).
Combinés mobiles : 85,4 millions d’unités vendus en Chine en 2005 (+31,3%). Domination des marques étrangères avec 58 % de part de marché (Nokia, Motorola et Samsung arrivant en tête). Ningbo Bird est le premier fabricant chinois avec une part de marché de 6,9 %.

Taux de pénétration fin 2005 : Chine : 30,3%, Pékin : 97,8%, Shanghai : 82,9%, Guangdong : 77,2% (source : MII)

Le marché mobile indien rattrapera la Chine ?

Le gourou de marché asiatique, Duncan Clark, a indiqué, dans un discours lors du Séminaire sur l’analyse de marchés de croissance le 13 février au Congrès 3GSM, que décembre avait été une première, dans la mesure où la croissance de nouveaux abonnés en Inde a atteint le chiffre de 5 millions pour le mois. Ce total est habituel pour les opérateurs mobiles chinois, mais c’est un grand progrès en Inde.( l’Inde devrait continuer sur sa lancée des 5 millions d’abonnés par mois en 2006, et devrait passer petit à petit devant la Chine dans cette mesure de croissance.)

L’Inde et la Chine représentent un énorme potentiel de croissance. Selon les prévisions de M. Clark, la population totale d’abonnés devrait atteindre 617 millions en Chine et 365 millions en Inde d’ici 2010. Le marché indien s’élève aujourd’hui à 75 millions, avec un taux de pénétration de seulement 6,7 %.

Les zones rurales en Inde ont alimenté le bond du nombre d’abonnés en décembre, reflétant, selon M. Clark, une « propension » des utilisateurs ruraux à rechercher les services mobiles. Le problème en Inde est l’électrification rurale, qui est loin d’être universelle. Par conséquent, la capacité de couverture de téléphone mobile en Inde est de seulement 22 %. La Chine, malgré quelques écarts de puissance, affiche une couverture mobile de plus de 98 % de son territoire à l’heure actuelle.

Un autre problème persistant pour l’Inde est la réglementation. Pendant une grande partie des années 1990, l’Inde a maintenu un régime onéreux de restrictions de licences et de taxes qui ont bâillonné le secteur mobile. La Chine, malgré sa réputation d’ennemi du capitalisme, a affiché beaucoup plus de laissez-faire. « La Chine est beaucoup plus dirigée par des bureaucrates mais ce n’est pas inefficace… Ils sont toujours parvenus à répliquer le marché sans y faire entrer le secteur privé », fait observer M. Clark.

La consolidation de secteur attendue en Chine pendant la transition 3G reflète généralement cette efficacité. Dongming Zhang, directeur de recherche de BDA, prévoit que la Chine devrait bientôt réduire le nombre d’opérateurs téléphoniques contrôlés par l’état de quatre à trois. Le principal fournisseur mobile du pays, China Mobile, devrait rester intact. China Unicom devrait, pour sa part, quasiment disparaître, étant donné que China Telecom devrait absorber ses services GSM et que son réseau CDMA devrait être transformé en une activité conjointe avec China Netcom.

Dans le même temps, le marché mobile indien continue de rattraper son retard. Même si l’Autorité de régulation des télécommunications en Inde est beaucoup plus amicale que par le passé, il existe des obstacles aux investissements extérieurs et à l’innovation intérieure. Une comparaison avec la Chine montre une différence considérable sur la manière dont les recettes sont partagées dans la zone vitale des données mobiles.

Comme M. Clark l’explique, les similitudes entre la Chine et l’Inde, en termes de taille, d’emplacement et de potentiel non exploité sont frappantes. Mais le fossé entre la capacité éprouvée des deux pays à exploiter ce potentiel est encore plus frappant, et ce fossé devrait continuer de favoriser les clients de téléphones mobiles en Chine. Le mélange de ces deux marchés géants des télécommunications en un, baptisé « Chinde » dans certains secteurs, n’est pas crédible, selon M. Clark.Source eetimes.fr

La Chine veut sa propre norme 3G

Lorsque l’on pèse 1,3 milliard d’habitants, on est en droit de satisfaire ses caprices. C’est le cas de la Chine qui veut imposer sa propre norme 3G appelée TD-SCDMA. Selon le quotidien Daily China, les fabricants locaux ainsi que des étrangers seraient prêts à démarrer la production de mobiles utilisant cette norme dès que le gouvernement chinois donnera son accord. Près d’une centaine de mobiles acceptant cette norme sont déjà prévus. Le TD-SCDMA viendra concurrencer la 3G et le CDMA. Les autorités chinoises souhaitent que leur norme soit usitée pendant les Jeux Olympiques de 2008 se déroulant à Pékin.

Auchan Telecom, Carrefour Mobile, Ten


L'AFOM (Association française des opérateurs mobiles) accueille trois nouveaux membres, Auchan Telecom, Carrefour Mobile et Ten. " L’entrée de ces trois nouveaux opérateurs confirme la place centrale de l’AFOM au sein de la filière mobile et sa représentativité sur les sujets d’intérêt général", approuve l'association. "Elle traduit également la place significative qu'occupent les MVNO en France". Avec moins de 2% du marché, la place des opérateurs virtuels n'est pas encore a proprement parler "significative"... L'association a néanmoins nommé un administrateur afin de les représenter. C'est Geoffroy Roux de Bézieux, président de Virgin mobile France (ci-contre avec Richard Branson lors du lancement des activités de l'opérateur en France), qui a été nommé à ce poste.

François Loos plébiscite la TV

Un mois après un premier essai de télévision sur mobile réalisé dans le métro parisien sous l’égide de TDF et de la RATP, un second test s’est tenu hier dans une rame du métro parisien entre les stations « Assemblée Nationale » et « Concorde ». Si le premier test a eu lieu de façon statique, le second a été réalisé en mouvement sans que le signal ne soit interrompu. Le signal DVB-H (TNT mobile) émis de la Tour Effel jusqu’au locaux de la RATP puis retransmis dans les stations via le réseau de fibre optique de la Régie. François Loos, ministre délégué à l’Industrie, a pu constater de visu que « la télévision sur mobile ça marche ». Le Ministre a affirmé que l’exemple de l’Italie et de la Finlande devait encourager la France « à ne plus attendre pour le lancement de la télévision mobile ». D’autant que « nous avons les technologies, nous avons les entreprises qui les maîtrisent, nous avons le marché potentiel », a-t-il ajouté.

Tuesday, December 12, 2006

Jeunes et médias électroniques : un job à temps plein

Une étude estime que les jeunes américains de 13 à 18 ans passent plus de 72 heures par semaine à utiliser un média électronique (Internet, téléphone mobile, tv, musique ou jeux vidéo).
Une vraie aubaine pour une technonologie comme MobileTag (www.mobiletag.com) qui est un media transversal sur tous les supports de communication cités.

La même étude affirme aussi que les jeunes dépensent 195 Md$ par an en vêtements, repas, films et évidemment ou biens électroniques…Apple sera contente d’apprendre au passage qu’un tiers des jeunes interrogés possèdent un iPod mais sera plus inquiète pour son service iTunes quand elle saura que 75% des jeunes téléchargent de la musique et que 41% d’entre eux se moquent bien des aspects éthiques des téléchargements qu’ils savent pourtant illégaux.

Monday, December 11, 2006

Les enfants échangent de la musique grâce à leur téléphone

Un étude portant sur 1.500 enfants de 8 à 13 ans a montré que 30% d'entre eux échangeaient de la musique via leur téléphone mobile, sans trop se soucier du copyright. L'étude n'a cependant pas cherché à savoir quelle proportion de morceaux étaient "piratés". L'auteur de cette étude estime que ce serait une erreur de chercher une voie légale pour limiter le phénomène : il s'agit là d'un mécanisme viral dont les maisons de disques devraient tirer parti. A l'inverse d'un Napster, les échanges se font de terminal à terminal, et à petite échelle
Source BBC :

Children are increasingly swapping music via mobile phones, often without realising they can be breaking the law.
A survey of almost 1,500 eight to 13-year-olds found almost a third shared music via their mobiles.

Children are using the built-in Bluetooth wireless feature of many phones to swap music - but without the consent of copyright holders.

Robin Hart of Intuitive Media, which conducted the survey, said the problem was a worry for the music industry.

Almost a half (45%) of children who said they did not swap music via their phones said they would like to.

The survey did not breakdown what percentage of music shared had rights attached to it or was free to exchange.

Mr Hart, co-founder of Intuitive Media, said: "Music sharing on the internet was identified by the industry as one of the biggest threats they've faced in recent years and this research shows that mobile has got the potential to exacerbate those problems.

"The children are not aware they are doing anything illegal."

He said the industry should not take legal steps to stop the practice at this stage.

"Children are doing this quite innocently. We don't need to criminalise them," he said.

The music industry has said it was "concerned" by the findings.

It has complained for many years that it is losing billions of pounds to music piracy via the net, although critics say the trend of falling sales is more tied to changing patterns of consumption.

Commonly used

More than a million children in the UK under 10 years old - one in four - already have a mobile phone and newer models are commonly used as MP3 players to listen to digital music.

By 2007 the average age someone will receive their first mobile phone will be eight in Europe, according to the Wireless World Forum Youth Report 2005.

Justin Pearse, Mobile Editor of New Media Age, which co-commissioned the survey, said: "The music capabilities of mobile phones have really exploded in the last few months so this type of illegal music sharing was only to be expected.

"Nearly three quarters of kids are either already sharing music like this or want to be doing so."

Mr Pearse said he expected mobile music swapping to become a "truly mass market phenomenon in a matter of weeks or months" with the arrival of high-end phones this Christmas.

The music industry reacted with a wave of lawsuits when net song-swapping services like Napster took off in the 1990s.

It has since followed this up with lawsuits against individual users accused of hoarding and swapping music without permission from copyright holders.

Intuitive Media, which runs safe social networks for primary and secondary aged children in association with educational authorities, said the survey was carried out to get a better sense of how children used their phones.

'Quite surprised'

"We were quite surprised by how young the kids were when getting phones," said Mr Hart, who runs GoldStarCafe.com and SuperClubsPlus.com.

He added: "53% of seven year olds on our sites own a mobile phone. It's very important to them and they use it a lot - half of the time phoning mates and half phoning family."

Mr Hart acknowledged that while the problem was a growing one it wasn't a "great problem yet" for the industry.

The threat of Napster and other sites was in the ability to deliver one copied song to hundreds of people almost simultaneously. Song swapping via mobile phones is currently one-to-one when using Bluetooth.

"This is a great opportunity for the industry. 26% of the children are buying things for their phone, costing at least £1 once a week,

"If the industry can offer cheap music downloads, make them easy to use and take advantage of Bluetooth spread, there are great opportunities.

"The industry will waste time and money trying to stop this. There's a viral thing happening here, and the music industry can take advantage of it."

Matt Phillips, communications manager for the BPI, which represents the UK music industry, said: "The illegal sharing of music is clearly a concern for the record industry.

He added: "While swapping songs via Bluetooth is a concern for the industry, it hasn't caused the same problems as illegal p2p filesharing as it's copying on a one-to-one, rather than one-to-millions basis.

"Ultimately the way to grow revenues with mobile will be to offer music fans what they want and encourage them to get their music legally."

Sunday, December 10, 2006

Accoona annonce la création du "Prix Accoona de l’Innovation Technologique"


Paris, le 11 décembre 2006. Accoona, moteur de recherche basé sur l’intelligence artificielle, annonce la création d'une récompense spéciale pour les journalistes, le "Prix Accoona de l'innovation technologique", présentée officiellement vendredi dernier à l'occasion de la cérémonie de remise des prix de l'UNCA (l’Association des Correspondants des Nations Unies), au siège de L'ONU.

En tant que pionnier de la technologie de recherche par intelligence artificielle, Accoona met au service des journalistes un moteur de recherche capable de leur fournir des résultats extrêmement pertinents grâce aux fonctions "SuperTarget Your Search. Participant actif de cette cérémonie dédiée à la presse, Eckhart Pfeiffer, Président d'Accoona, annonce pour l’année prochaine la création de ce Prix, qui viendra récompenser le journaliste ayant su tirer le meilleur profit de la technologie et d’Internet pour accomplir sa mission.

Mr Pfeiffer a profité également de la cérémonie pour présenter la toute nouvelle innovation technologique d'Accoona, le "1 Clic - 3 Recherches", qui permet de fusionner les résultats obtenus dans les catégories Web, Entreprises et Actualités, sur une seule et même interface clarifiée et simple d’utilisation.

Les Prix de l'UNCA:

Les Prix de l’Association des Correspondants des Nations Unies, créés à l’occasion du 50ème anniversaire des Nations Unies en 1995, récompensent l’excellence du journalisme sur le sujet des Nations Unies. Les fonds réunis lors de la Cérémonie sont mis à profit pour constituer des Bourses d’Etude qui permettront à de jeunes journalistes à l’avenir prometteur et issus de pays en voie de développement de venir à New York réaliser un reportage de 3 mois.

L’ancien Président Bill Clinton, également Envoyé Spécial des Nations Unies pour le Secours aux victimes du Tsunami, a reçu des mains de Kofi Annan le prestigieux Prix du Citoyen de l’Année 2006 de l’UNCA, récompensant ses efforts remarquables pour la reconstruction des communautés dans une dizaine de pays frappés par le Tsunami.